samedi 17 septembre 2016

Un sexologue pervers (2)

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Chapitre 2


La porte de l'appartement claque en se refermant.

— Mehdi, t'es là ?
— Ouais... Qu'est-ce qu'il y a ?
— Il faut que je te parle, mon cœur ; viens dans le salon.
— Attends un instant, j'ai pas encore fini...

Sarah le rejoint dans la chambre ; elle le trouve en train de s'astiquer le manche devant l'ordinateur dont l'écran affiche une scène de sodomie.



— Putain, Mehdi, t'abuses ! Je suis là, moi !
— Toi ? Mais t'es bonne à quoi, toi ? À rien ! Regarde, je suis obligé de me branler en regardant des femmes se faire défoncer le cul parce que j'ai jamais pu t'enculer, toi !
— Si tu m'écoutais un peu plus souvent au lieu d'aller sur tes sites de cul, tu saurais que je viens de chez un sexologue pour régler nos… problèmes.
— Quoi ? Nos problèmes ? Tes problèmes, oui : moi, j'en ai pas. C'est toi qu’en as, des problèmes avec ton cul où j’peux pas enfiler mon zob !
— D'accord, d'accord, c'est bon. Bref, je suis allée chez le sexologue ; il veut nous voir ensemble. On a rendez-vous la semaine prochaine.
— Et qu'est-ce qu'il veut faire, ce bâtard ? T'élargir le cul ? Nique sa race !

Sarah s'approche de lui et, s'agenouillant, elle enlève la main de Mehdi pour la remplacer par la sienne sur la verge imposante. Pas excessivement longue – une vingtaine de centimètres – mais d'un diamètre assez important pour que sa petite main aux doigts effilés arrive tout juste à en faire le tour. Elle débute de doux va-et-vient le long de ce sexe surmonté d'un impressionnant gland circoncis qui le fait paraître encore plus volumineux, puis elle s'arrête et se redresse pour lui répondre :

— Il veut t'aider à me sodomiser, pauvre con !

Elle s’incline à nouveau et fait glisser sa langue sur la verge de Mehdi.

— Ah, il veut m'apprendre à enculer une meuf, ce bouffon ?

Sarah continue à sucer Mehdi ; excitée par la grosse bite qu’elle a dans la bouche, elle ne l'écoute plus.

— Allez, pompe-moi la queue pendant que je regarde comment les vrais mecs s'occupent des pouffes !

Les va-et-vient le long du membre deviennent de plus en plus rapides. Même si elle ne le montre pas, Sarah apprécie le côté macho de Mehdi durant leurs ébats ; tenant la hampe, elle s’active sur le gros gland qui lui distend la bouche. L’éphèbe bronzé sent que sa jouissance n’est plus qu’une affaire de secondes ; déjà quelques gouttes salées viennent perler sur la langue de Sarah. C’est alors qu’elle arrête sa fellation et regarde Mehdi droit dans les yeux en déclarant :

— Viens avec moi la semaine prochaine, Mehdi.
— Bon, OK, mais suce-moi à fond, alors.

Avec un petit sourire en coin en signe de réussite, elle reprend le pénis en main et le lubrifie de salive ; ses caresses augmentent d’intensité. Tandis que dans la fine main la grosse bite tressaute, Sarah fait tournoyer sa langue autour du gros gland qui gonfle encore plus en prenant une teinte violacée… L'excitation de Mehdi est telle qu'il ne peut se retenir de lâcher quelques soupirs. Le jeune Arabe attrape alors la tête de sa copine, fait glisser son membre imposant de plus en plus rapidement entre les lèvres de l'étudiante puis, lui maintenant la nuque afin qu'elle ne puisse reculer, lui enfonce son gros gland tout au fond de la bouche et déverse plusieurs jets de semence gluante directement dans la gorge de Sarah qui s'étouffe sous l'abondance de l'éjaculation tandis qu’il rugit de plaisir.

Enfin apaisé, il se détend et donne une tape amicale sur la joue de la jeune fille qui continue à déglutir. Toujours à genoux, elle avale les dernières gouttes qui lui tapissent l’intérieur de la bouche avant de déclarer :

— Je ne peux pas être bonne à rien puisque je suce ta queue ! Bon j'appelle le docteur pour confirmer le rendez-vous.
— OK, appelle-le, ton toubib de la putain de sa race ! Mais tu vas me pomper le nœud tous les jours jusqu'à ton putain de rendez-vous. Compris ?
— Oui, mon cœur, merci ! dit-elle avant de l'embrasser.


* * *


— Allô, Xavier ? Dis, j’ai un service à te demander. Tu sais, la petite Sarah que tu m’as adressée, celle qui a des problèmes d’intromission anale, tu t’en souviens ?
— Bien sûr, Serge ; un cul comme le sien, c’est difficile à oublier… Alors, tu te l’es faite, vieux saligaud ?
— Non, pas vraiment, mais je dois la revoir en consultation. Comme tu le sais, je viens de prendre ma retraite et je n’ai plus de cabinet. Tu pourrais me prêter le tien pour que je la reçoive ?
— Eh bien, ça risque d’être difficile : mon carnet de rendez-vous est plein à craquer ; mais si tu peux attendre jusqu’à samedi, dans huit jours, je peux te trouver un créneau, vu que je ne reçois pas le week-end.
— Super, Xavier ! Disons à partir de quinze heures ?
— OK, va pour quinze heures. Mais j’ai besoin d’une contrepartie : je veux être présent.
— Ah, je te reconnais bien là, mon salaud ! Mais si tu penses te la faire, tu vas être déçu : elle vient avec son mec.
— Merde ! Bon, viens une demi-heure avant ton rendez-vous ; on trouvera bien le moyen d’improviser un plan.
— OK, vieille canaille ; à plus.
— Ciao, toubib de mes deux !

Bon, ça se présentait pas trop mal. Le sexologue compose le numéro de la jeune étudiante.

— Mademoiselle, c’est encore le docteur de Feule à l’appareil ; je vous rappelle pour votre rendez-vous. Comme vous le savez, je viens céder mon cabinet à un jeune confrère ; de ce fait, je vous recevrai chez votre gynécologue, samedi en huit à quinze heures. Comme convenu, vous serez accompagnée de votre ami, c’est bien ça ?
— Oui, Docteur : Mehdi sera là, j’ai réussi à le convaincre. Merci d’avoir rappelé.
— Bien. Alors à samedi prochain, Mademoiselle.
— C’est ça ; à samedi, Docteur. Au revoir, Docteur.


* * *


Le samedi suivant, le sexologue arrive à l’heure prévue au cabinet de son confrère.

— Salut, Serge ; entre et installe-toi.
— Bonjour, Xavier ; alors, tu as réfléchi à un plan ?
— Ben, j’ai pensé que je pourrais me dissimuler dans la pièce attenante pour mater ; et suivant ce qui se passera, je pourrais intervenir si tu me fais signe…
— Je ne sais pas si c’est une bonne idée ; vois-tu, il me semble que nous aurions plus d’ascendant sur ce jeune couple si nous agissions à deux dès le départ. N’oublie pas que l’ami de notre patiente est du genre macho ; ils se laisseront plus facilement convaincre si nous sommes deux : pour ces jeunes, nous représentons l’autorité que nous confère notre âge et nos diplômes. Et fais comme moi : passe une blouse blanche ; ça les impressionnera plus que si tu les reçois en jeans.
— Tu as raison, Serge. Alors je te laisse débuter la consultation, et je t’assisterai. Bon, il nous reste un quart d’heure avant le rendez-vous. Je te sers un cognac ? J’ai réussi à me procurer du Hennessy Paradis Impérial plus que centenaire ; une pure merveille ! Heureusement, parce qu’à trois mille euros la carafe…
— Volontiers. Tu as dû en ausculter, des chattes, pour te payer ça !

Xavier sort religieusement d’une armoire un magnifique flacon qui est déjà une œuvre d’art par lui-même et en verse quelques centilitres dans des verres à cognac en cristal. Les deux médecins s’absorbent dans la contemplation du liquide mordoré qu’ils réchauffent entre leurs doigts pour qu’il atteigne une température idoine, humant de temps en temps le précieux élixir et s’extasiant sur les délicates senteurs qui s’en exhalent, puis ils portent les fins récipients à leurs lèvres.

— Putain, que c’est bon… Moi qui suis athée, je me croirais au paradis ! Il porte bien son nom, ce cognac.
— Je te l’accorde : c’est un vrai chef d’œuvre !

Ils devisent de choses et d’autres pendant quelques minutes, mais la sonnette retentit et ils entendent des pas dans la salle d’attente.

— Les voilà ; ils ont dix minutes d’avance… chuchote Xavier.
— Pas grave. Laissons-les poireauter, ça les mettra en état d’infériorité. En attendant, terminons ce breuvage divin : je m’en voudrais d’en laisser ne serait-ce qu’une goutte au fond de mon verre !

Et ils se calent dans les confortables fauteuils pour déguster l’alcool ambré.
Dix minutes plus tard, le sexologue se lève, ouvre la porte de communication entre la salle d’attente et le cabinet et leur tend la main.

— Bonjour ; donnez-vous la peine d’entrer.
— Bonjour, Docteur, répondent simultanément deux voix dans lesquelles on perçoit de l’émotion.
— Asseyez-vous. Mademoiselle, vous connaissez mon confrère puisqu’il s’agit de votre gynécologue ; il va donc m’assister.

Puis, s’adressant à Xavier :

— Docteur, pouvez-vous me faire un rapide résumé de la situation, je vous prie ?
— Certes, mon cher confrère. Voilà : mademoiselle souffre d’intense dyspareunie à chaque tentative d’inculum a tergo. Mon examen n’a pas décelé d’endométriose, ce qui laisse supposer que l’origine de cette pathologie ne serait pas organique, mais plutôt psychologique ; c’est la raison pour laquelle je vous l’ai adressée.
— Merci, cher ami. Mademoiselle, il faut savoir que ces douleurs peuvent provenir de causes aussi différentes qu’une hygiène excessive de la zone uro-génitale, d’un sentiment de culpabilité pour tout ce qui touche à la sexualité, d’un manque de préparation avant l’intromission, voire même de conflits au sein du couple. Est-ce votre cas, Mademoiselle ?

La jolie Sarah, un peu gênée, réfléchit pendant quelques instants puis répond :

— Eh bien, Docteur, parmi toutes les causes que vous venez de citer, je n’en vois que deux : c’est vrai qu’il existe une sorte de conflit entre mon ami et moi, mais ça vient du fait qu’il lui est impossible de m’enc… de me sodomiser. Je pense que le problème vient surtout d’un manque de préparation.
— Intéressant… Comment vous-y prenez-vous, Monsieur, pour donner envie à votre partenaire lors des préliminaires ?

Mal à l’aise, Mehdi se tortille sur son fauteuil avant de répondre :

— Bah, comme d’habitude : je lui touche les nibards et je lui mets des doigts dans la chatte. C’est bien comme ça qu’il faut faire, non ?

La voix chargée de reproches, l’étudiante se tourne vers son copain :

— Il est là le problème, Mehdi : tu ne sais pas comment t'y prendre ! Tu pense que c'est comme ça qu'on s'occupe d'une femme, qu'on lui fait plaisir ? Dites-lui, Docteur !
— Eh bien, Monsieur, il me semble que vous êtes un peu trop direct avec Mademoiselle ; soyez un peu plus délicat, allez-y avec un peu plus de doigté.
— Ben quoi, la doigter, c'est bien ce que je fais, non ?
— Écoute, Mehdi, tu ne comprends décidément rien ; laisse le docteur te montrer.

Sarah n'en revient pas… elle ose faire des reproches à Mehdi ! C'est vrai que l'excitation est plus que palpable ; parler de sa sexualité devant trois hommes aurait été irréalisable il y a quelques jours encore.
Le sexologue reprend la parole :

— Vous semblez ne pas comprendre mes propos, Monsieur ; lorsque je dis qu'il faut du doigté, cela signifie qu'il faut être léger, subtil. Il ne s'agit pas d'enfoncer directement un doigt dans le vagin de cette demoiselle sans l'avoir préparée délicatement auparavant ; n'est-ce pas, Mademoiselle ?
— Tout à fait, Docteur. Malheureusement, je ne pense pas qu'il puisse comprendre si vous ne lui faites pas de démonstration
— Bien. Alors installez-vous sur la table d'examen, Mademoiselle, après avoir enlevé votre sous-vêtement et relevé votre jupe à hauteur de la taille.

Répondant à la demande du médecin, Sarah préfère enlever sa jupe complètement et se débarrasse des quelques grammes de dentelle noire de son string.

— Voilà... Maintenant, posez vos pieds dans les étriers.

Le sexologue s'approche, suivi de près par son confrère, très intéressé. Mehdi, resté assis sur le fauteuil, se tourne vers eux ; malheureusement pour lui, il ne peut voir que le dos des deux médecins.

Avec ces deux hommes à qui elle offre une vue imprenable sur son intimité, Sarah ne peut s'empêcher de ressentir un début d'excitation ; ses cuisses largement ouvertes laissent apercevoir ses petites lèvres gonflées d’où commencent à suinter quelques gouttes irisées.

Ayant volontairement omis d'enfiler un gant, le médecin approche un doigt et le passe délicatement à plusieurs reprises le long de la vulve qui s'ouvre sous cette caresse, puis il saisit les petites lèvres qu'il disjoint. Un filet de cyprine s'en écoule.

— Voyez par vous-même, mon cher confrère : cette jeune fille présente tous les signes d'un début d'excitation ; cette lubrification prouve qu'elle ne souffre pas de sécheresse vaginale.

Puis, s'adressant directement à Sarah :

— Alors, Mademoiselle, comment ressentez-vous ces attouchements ?
— Eh bien, Docteur, vous pouvez le constater par vous-même : vos effleurements me font un effet terrible, ce qui ne m'arrive jamais avec Mehdi.
— De ce côté-ci, tout semble fonctionner parfaitement, Mademoiselle. Mais vous étiez venue consulter pour un problème plus… comment dirais-je…
— Anal ? Oui, Docteur. Comme vous le savez déjà, Mehdi et moi ne pouvons pas avoir de rapports anaux ; c'est d'ailleurs une grande source de conflits entre nous, n’est-ce pas, Mehdi ?
— Ben oui, elle peut pas supporter que je l'encule.
— Monsieur, un peu de retenue, je vous prie ! Ici, on dit "sodomiser", ou bien encore "pratiquer le coït anal".
— Mehdi ! Sérieux, je suis pas ta pute ! C'est pas que je ne veux pas que tu me sodomises ; c'est que tu t'y prends mal. On n’est pas dans un porno ; et ça, tu as du mal à le comprendre. Je pense que tu as vraiment besoin de leçons...
— Hé, toi, arrête de m'énerver ! Les leçons, c'est aux hommes de les donner, et c'est moi l'homme ici, pas toi. Alors arrête de me gonfler !
— Toi, un homme ? Mais tu n'es même pas capable de faire plaisir à une femme ! Je ne vois que deux hommes dans cette pièce, et tu n’en fais pas partie. Si tu veux te taper des putes, alors va à la gare, t'auras du choix !
— Fais pas chier, pauvre conne !
— Jeune homme, je vous prie de ne pas proférer de grossièretés dans mon cabinet ; calmez-vous !
— Je t'emmerde, Mehdi ! Je ne sais même pas pourquoi on est là, ensemble. Nous deux, ça ne collera jamais. Et c'est pas qu'à cause d'un problème de sodomie : c'est à cause de ta connerie !
— Ma connerie, espèce de pouffe ? Elle te dit merde ! T’auras plus à la supporter : je me casse, et définitivement. Allez, fais-toi bien tripoter par ces deux pédés ; amuse-toi bien. Ciao !

Furieux, il se lève et part en claquant la porte.

Le calme revenu dans le cabinet médical, le Dr de Feule reprend :

— Alors, Mademoiselle, parlez-nous de vos problèmes de sodomie. L'avez-vous déjà pratiquée avec d'autres partenaires que ce grossier individu ?
— Non. Il a été mon premier, Docteur, répond-elle, un peu déconcertée par la dispute qui vient d’avoir lieu.
— Dans ce cas, il faudrait tester si vous êtes réceptive aux caresses anales. Voulez-vous bien vous mettre à plat-ventre pour que nous puissions procéder à un examen ?
— Oui, tout de suite, Docteur.

Cette demande fait retrouver à Sarah l'excitation qu’elle éprouvait au début de la séance. Très vite, elle se met à plat-ventre, impatiente de découvrir les douces caresses des deux médecins.

À la vue du joli petit cul rebondi qui s'offre à leurs regards lubriques, les deux complices échangent un sourire vicieux. Le sexologue pervers s'agenouille au pied de la table d'examen, se penche légèrement et, plaçant sa langue sur la vulve de la jeune fille, il la fait lentement remonter jusqu'au creux de ses reins, laissant sur la peau satinée de la jeune fille une trace humide d'un mélange de salive et de cyprine.
Ces quelques coups de langue permettent à Sarah de ressentir un réel plaisir, et elle ne peut s'empêcher de laisser s'échapper quelques soupirs.

— Humm, Docteur… c'est très agréable, ce que vous me faites.
— Je vous rassure, Mademoiselle : vous êtes très réceptive de ce côté-là aussi. Voyons jusqu'où ces stimulations peuvent vous mener…

Il reprend ses caresses, léchant les deux fissures, faisant pénétrer la pointe de sa langue à l'entrée du vagin de Sarah tout en massant délicatement le petit cratère de son anus, puis il remplace son doigt par sa langue habile qui tourne autour de l'entrée interdite qui commence à s'entrouvrir sous la délicate caresse.

La belle étudiante est très réceptive ; grâce à cet homme, elle découvre des émotions et des sensations encore inconnues. Ces caresses la mettent dans un état second.

— Docteur, si je peux me permettre... Vous excellez dans ce domaine.
— Pourquoi dites-vous que j’excelle, Mademoiselle ? Que ressentez-vous ?
— Eh bien, Docteur, j’éprouve de l'excitation ; une excitation très intense.
— Assez intense pour vous amener à l'orgasme ? Dois-je continuer ?
— Aimeriez-vous continuer, Docteur ?
— D’un strict point de vue professionnel, oui : il serait intéressant – pour le bien de la science, cela va sans dire – de déterminer si certaines caresses peuvent provoquer un orgasme anal. Maintenant, tout à fait personnellement, je dois vous avouer que, oui, j'aimerais continuer car vous m’excitez beaucoup, Mademoiselle. D’ailleurs, il me semble que je ne suis pas le seul à l'être, d'après ce que je peux voir : mon confrère présente une émotion... palpable. Alors, on continue ?
— En prenant en considération toutes vos indications, je pense qu'il serait judicieux pour vous, pour moi, pour votre confrère et sans oublier pour le bien de la science… de continuer la séance, répond-elle d’une voix rendue rauque par le désir qui l’envahit.

Voir le pantalon de son gynécologue déformé par une grosseur conséquente augmente encore son excitation, et c'est tout naturellement que la belle Sarah darde un regard provocateur sur l’autre médecin en cambrant ses fesses comme pour l’inciter à les rejoindre. Succombant à ce regard de braise, Xavier s'approche et se place le long de la table d'auscultation, à proximité de la main droite de l’étudiante, tout en laissant son regard errer sur la croupe attirante de la jeune fille.

— Docteur ? Je vous en prie, allez-y… dit-elle avec un sourire espiègle.

Serge de Feule ne se fait pas prier ! Après avoir introduit délicatement l'extrémité de son index à l'entrée du vagin de la belle pour le lubrifier, il remonte de quelques centimètres pour aller titiller les bords de la rondelle frémissante ; il l’enduit ainsi à plusieurs reprises puis, estimant le moment venu, il plonge avec douceur sa première phalange dans le sphincter et entreprend de délicats mouvements circulaires à l'intérieur du rectum de l'étudiante qui ne peut retenir quelques soupirs.

— Humm… Huuuuum…

Afin d'accentuer son plaisir, elle se met à onduler lascivement du bassin. Ses soupirs de plus en plus sensuels indiquent au sexologue qu'il est sur la bonne voie ; il fait pénétrer son index fureteur jusqu'à la deuxième phalange tout en continuant ses mouvements circulaires. Sarah est au bord de l'orgasme, mais elle en veut encore plus ; elle lance un regard voluptueux aux deux hommes pour leur faire comprendre sa folle envie de sexe.

Alors qu’elle tente tant bien que mal de contenir son orgasme afin de profiter le plus longtemps possible de cette situation troublante, sa petite main se dirige vers la braguette de Xavier, son gynécologue, et se plaque sur son pantalon pour se refermer sur le gourdin et le serrer convulsivement.

Avisant l'état d'excitation de sa patiente, le docteur de Feule en profite pour introduire un deuxième, puis un troisième doigt dans la corolle frémissante. À présent, il malaxe avec de plus en plus de vigueur l'intérieur de la jeune fille qui, haletante, est sur le point d'exploser. Elle le supplie avec des mots qu’elle pensait ne jamais pouvoir prononcer :

— Docteur, enculez-moi… Je vous en prie, ne me laissez pas comme ça… Enculez-moi, maintenant ! Je vous veux dans mon cul !

Le médecin fait glisser son pantalon et son boxer jusqu'à ses pieds, dévoilant une verge aristocratique, longue et fine, parfaite pour la sodomie. Se plaçant entre les cuisses largement ouvertes de l'étudiante, il applique son gland effilé sur l'ouverture étoilée et le fait pénétrer sans la moindre difficulté. Ne pouvant plus retenir son orgasme, Sarah accentue sa cambrure afin que le docteur puisse lui investir plus profondément le cul.

— Docteur, prenez-moi… Continuez... Oui…

Le gynécologue n’en peut plus de jouer les spectateurs ; il se place face à la jeune fille, extirpe un membre congestionné de son pantalon et l’insère dans la bouche de l'étudiante afin pouvoir, lui aussi, participer à ce déchaînement des sens, à ces explosions de libidos.

Le sexologue poursuit lentement, sans à-coup, l'intromission de sa longue pine dans le fondement de l’adolescente jusqu'à arriver en butée contre ses fesses magnifiques. Courbé au-dessus du dos de Sarah, il voit sa tête aller et venir le long du membre de son confrère ; cette vision l'excite encore plus, et il se met à glisser lentement dans l'étroit boyau de la jeune fille qui explose immédiatement dans un premier orgasme. Une vague de chaleur prend possession de son corps pendant qu’elle gémit tout en suçant ardemment la grosse bite du gynécologue pour les remercier, lui et le docteur de Feule, de l'avoir libérée de ses inhibitions.

— Xavier, viens bouffer la chatte de cette petite cochonne pendant que je lui défonce le cul ! Sarah, soulève-toi et laisse-le se glisser sous toi.

La belle s'exécute et laisse le médecin se glisser sous son corps ; elle profite de cette position de 69 pour reprendre en bouche le mandrin du gynécologue. À présent que la langue de son confrère s'est emparée de la vulve ruisselante de l'étudiante, le sexologue pervers se remet à coulisser régulièrement dans le cul de l'adolescente, puis accélère sa cadence. Parfois, il laisse juste son gland à l’intérieur du rectum, immobile, étranglé par le sphincter qui l’enserre, puis il pénètre d'un trait au plus profond des entrailles de Sarah pour y appliquer de petits coups secs et répétés.

— Hummm… Messieurs…

Les va-et-vient du sexologue et les coups de langue assidus du gynécologue accélèrent l’arrivée du second orgasme de Sarah qui ne tarde pas à exploser sous les coups qui la traversent tandis que des cris de plaisir s'échappent de sa bouche.

Ces cris excitent l'enculeur. Sentant sa jouissance monter inexorablement, il s'immobilise tout au fond du rectum qui l'enserre délicieusement puis, faisant coulisser lentement sa verge sur quelques centimètres seulement pour bien apprécier la douceur de la gaine qui presse son gland gonflé par le plaisir, il se déverse à longs jets dans ce cul accueillant en poussant un hurlement libérateur.
Il reste un moment dans ces entrailles soyeuses, puis se retire.

— À toi, Xavier. Maintenant que le chemin est préparé, tu lui feras moins mal avec ta grosse bite.

Le gynécologue se retire à regret de la bouche de Sarah, se redresse et vient prendre la place libérée par son confrère ; et même si son membre est d'une taille impressionnante, il l'introduit sans coup férir entre les fesses de la jeune fille qui accueille l'imposante verge avec un gémissement entre douleur et plaisir.

Quelque peu fatiguée mais toujours excitée, Sarah est transpercée par l’imposant membre. Bien qu'elle y ait goûté peu de temps auparavant, le recevoir dans son petit cul n’est pas une partie de plaisir ; du moins au début, car très vite la douleur laisse place au plaisir tandis que le gynécologue entreprend une étude en profondeur des fesses de la jeune fille. Déjà prêt à jouir dans la bouche de Sarah lorsqu'il s'en était retiré, Xavier n'a que quelques va-et-vient à effectuer dans l'étroit conduit pour éjaculer longuement en gémissant, mais ces quelques mouvements permettent à l’adolescente de connaître un troisième orgasme.

— Docteur… Hum, Docteur... Oui... Aaaah !

Pour Sarah, ce troisième orgasme est sans le moindre doute le plus puissant de tous.

Chaque membre du trio ayant satisfait sa lubricité, le gynécologue invite l'étudiante à passer dans le cabinet de toilette attenant pour y procéder à des ablutions bienvenues. Pendant son absence, les deux compères se versent une rasade de ce fabuleux cognac et le dégustent tout en se congratulant pour ce moment de débauche. Sarah, quant à elle, est toujours dans un état second. Elle ne se reconnaît pas : la jeune étudiante s'est transformée en une véritable dépravée du sexe... et elle en redemande encore !

Lorsqu'elle réapparaît dans le cabinet, elle trouve les deux médecins en train de deviser joyeusement. Serge de Feule l'invite à s'asseoir dans un fauteuil face à eux.

— Eh bien, Mademoiselle, l'examen est probant : vous n'êtes affectée d'aucun syndrome ; vos problèmes provenaient uniquement de votre ami qui ne sait pas s'y prendre avec les femmes. Toutefois, il serait utile de vous revoir régulièrement pour un suivi de vos capacités orgasmiques ; je vous propose donc de nous retrouver ici-même une fois par mois. Cela vous convient-il ?

Sarah s'interroge. Cette relation été exceptionnelle, mais un suivi régulier, où cela pourrait-il la mener ? Cependant, l'excitation qu’elle vient de connaître ne la fait pas réfléchir longtemps.

— Docteur, ces rendez-vous mensuels me semblent impératifs.
— On se retrouve dans un mois alors ?
— Avec grand plaisir.
— N’oubliez pas, Mademoiselle, qu’il faut prolonger le traitement pour qu'il reste efficace. Et son efficacité n'est plus à démontrer !

Avant de partir, sachant parfaitement l’usage que les deux médecins vont lui réserver, Sarah laisse tomber négligemment sur le seuil de la porte son string détrempé par l’excitation qui l’avait submergée en se rendant au cabinet médical, se doutant bien de ce qui allait se produire ; mais elle ne savait pas encore que ses attentes allaient être comblées bien au-delà de ses espérances les plus folles.


FIN

Auteurs : Lioubov et Nulaya

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