dimanche 17 avril 2016

Un compte à régler avec ma banquière (3)

Relire le chapitre 2

Au cours des mois qui passèrent, j’entretins malgré tout des relations cordiales avec ma banquière. Elle aurait pu changer de portefeuille de clients et ne plus avoir affaire à moi, mais elle ne le fit pas. Bien sûr, je ne sais pas si dans cette petite agence il y avait d’autres « gros poissons » comme moi. Malgré ce que je lui avais fait subir, elle était restée ma conseillère de clientèle, « ma » banquière.
Désormais c’est moi qui l’appelais de temps en temps pour savoir comment fructifiait mon capital, quels étaient les dividendes, etc. Elle me parlait avec naturel, et personne n’aurait pu deviner en entendant sa voix ce qui s’était passé entre nous.

Plusieurs mois après, je pris rendez-vous avec elle à l’agence pour faire le point sur mon placement. Elle m’accueillit sans appréhension apparente, sans air de dégoût ni de répulsion, de la même façon qu'avant, en grande professionnelle. Je remarquai que son look était moins ringard : elle portait une robe légère, des escarpins beiges, classe, et assortis à sa tenue ; sa taille était cintrée par une élégante ceinture dorée, en harmonie avec les bijoux en or qu’elle arborait.



Nous parlâmes du placement, du rendement, des perspectives d’évolution ; elle était très attentive, m’entretint avec beaucoup de conviction et maîtrisait parfaitement son sujet.
Comme elle pointait avec son stylo des éléments importants, je remarquai que ses ongles longs et soignés étaient impeccablement vernis d’un beau rouge vif brillant. On aurait dit que la petite banquière de province si vieux jeu avait mué.

— C’est intéressant, dis-je en souriant...

J’attendis un moment comme pour laisser planer le mystère sur le sens de ce que je venais de prononcer, puis j’ajoutai avec un air enjôleur :

— ... le rendement est intéressant ; on dirait que votre produit tient ses promesses.

Elle se rengorgea, tentant de dissimuler sa fierté.

— Oui, je vous avais dit que vous ne seriez pas déçu.
— En effet ; je vous félicite : vous connaissez bien votre affaire.

Un ange passa. Un silence s’installa quelques instants entre nous, puis elle se lança :

— Seriez-vous disposé à investir davantage sur ce support ?
— Hum, je vous attendais là : cela mérite quand même réflexion... et puis, cela dépend aussi de vous, ajoutai-je avec un sourire narquois et entendu en la regardant bien dans les yeux.

Elle me jeta un regard un peu sévère, puis baissa les yeux. Elle ajouta d’une voix basse qui semblait empreinte d’un trouble :

— Que voulez-vous… encore ?
— Ne faites pas l’innocente, Madame Mareuil ; ne me jouez pas la naïve : si vous en voulez plus, à moi aussi il m’en faudra plus…
— Plus ? souffla-t-elle. Que pouvez-vous bien avoir de plus que ce que vous avez déjà eu ? dit-elle presque à voix basse.
— Eh bien pour commencer, par exemple, je voudrais vous voir à mes pieds dans ce bureau – votre bureau – dans votre agence bancaire, en train de me tailler une pipe ! balançai-je vulgairement.
— Ici ?! s’exclama-t-elle. Mais vous n’y pensez pas !
— Oh, que si... J’y pense parfaitement, et je ne pense qu’à ça depuis que vous m’y avez fait entrer. Ici, justement, dans ce joli bureau cossu.
— Mais vous vous rendez compte ? C’est mon lieu de travail. Si nous devions nous faire surprendre, c’est mon boulot que je risque de perdre !
— Allez, ne jouez pas la sotte avec moi. Vous savez très bien que je ne suis pas n'importe quel client, et vos collègues le savent également. Je suis certain que vous avez déjà donné des directives pour que notre tête-à-tête ne soit pas interrompu par l’entrée intempestive d’un de vos collègues. Ils savent que je ne suis pas un client dont on va prendre le risque de perdre.
Ils ne vous ont pas demandé de m’accueillir en déshabillé et avec une coupe de champagne, ajoutai-je ironiquement, mais ils font tout pour que vous me traitiez aux petits oignons, je le sais bien.
— Arrêtez ! En plus, pour des raisons de sécurité, il y a des caméras de vidéosurveillance non seulement dans le hall mais dans tous les bureaux.
— Caméras de vidéosurveillance passives, puisqu’il n’y a personne devant : seules les caméras braquées sur l’accueil et l’entrée sont reliées à des écrans ; on ne regarde les bandes des autres qu’après coup en cas de braquage, et elles ne sont conservées que 48 heures. Alors s’il n’y a pas de braquage dans les 48 heures, vous n’avez rien à craindre. Donc le risque existe, mais il est petit. À vous de voir si vous voulez gagner encore de l’argent… ou pas.

Elle planta ses yeux interrogateurs dans les miens ; ils étaient troubles comme la mer du Nord un sale jour d’hiver. Je ne sais si c’était de la détresse ou de la colère. Pensait-elle que je n’allais pas insister ? Dans ce bureau, sur son lieu de travail où nous n’étions pas seuls, elle se sentait un peu plus forte que chez moi ; mais je ne lâchai pas prise, et d’ailleurs elle savait que je ne plaisantais pas.

— Vous croyez que vous pouvez vous permettre d’exiger que je satisfasse tous vos caprices, et que je vais obligatoirement y céder ?
— Écoutez, poursuivis-je sans vraiment répondre à la question, ce sera simplement la première condition pour que je mette davantage d’argent sur votre support. Mais autant vous prévenir dès maintenant que la signature finale se fera chez moi, comme la dernière fois. Vous connaissez le script, à présent.

Un silence.

— Vous êtes libre d’accepter mes conditions – et de gagner plus d’argent – ou de refuser, bien entendu… Et bien entendu, dans ce cas, nous en resterons là.
— Combien ? me jeta-t-elle durement.
— Ah, je retrouve là la femme d’argent. J’aime bien cette femme-là... et j’aime bien la voir à mes pieds ! Allez, est-ce que je vous ai déçue la dernière fois ? Est-ce que vous ne vous y êtes pas retrouvée ?
— Si… Oui, je…
— Alors, à mes pieds ! Ici ! Faites le tour de votre bureau et accroupissez-vous devant moi ! Et faites-moi confiance.

Elle me regarda, résignée, puis se leva lentement, jeta un œil craintif vers la porte et me fit face tandis que je m’étais levé.

— Avant de vous accroupir, ma chère banquière, vous allez d’abord enlever votre culotte et me la donner.

Elle commença à se contorsionner. Je l’interrompis :

— Faites ça sans relever votre robe, débrouillez-vous. Et surtout sans cesser de me regarder dans les yeux ; je vous interdis de baisser les yeux !

Elle obéit – ce qui dut lui coûter beaucoup – et je dus à un moment lui saisir le menton et le maintenir levé vers moi. Je lus de l’humiliation dans ses yeux et je jouis de ce spectacle. Je fixai longuement ses yeux gris-verts, lui faisant comprendre en soutenant mon regard qu’elle était ma proie, qu’elle m’appartenait …du moins tant qu’elle acceptait mes conditions (et j’avais compris qu’elle allait tout accepter ; pour l’argent, bien sûr).

Sans lâcher son menton et ses yeux, je tendis mon autre main :

— La culotte !

Elle me la donna. Je regardai le petit slip de tissu rouge, appréciai la légèreté et la douceur du satin entre mes doigts et le fourrai dans ma poche.

— Allez, accroupie, Madame Mareuil ; vous allez faire un peu d’exercice.

Je sortis ma queue. Sans hésiter, elle la prit en bouche et se mit à me sucer avec un peu de hâte, espérant sans doute mettre fin au plus vite à cet épisode humiliant, avec la peur d’être surprise sur son lieu de travail. Comme je lui avais ordonné de rester accroupie, elle bougeait comiquement pour garder son équilibre, et je voyais ses belles lèvres aller et venir sur la hampe de mon pénis.
C’était bon, elle s’y prenait bien, me suçait en magistrale salope. Je pris sa nuque délicate entre mes doigts et l’appuyai en rythme de plus en plus loin ; le gland butait dans le fond de sa gorge avec de légers gargouillis, mais elle s’appliquait, sans faiblir, sans se plaindre.

— Allez, ma belle banquière, relevez-vous. Vous allez vous pencher sur votre bureau ; appuyez-vous sur vos coudes.

Sans discuter elle se retourna et se pencha sur son bureau, l’air anxieux, un peu rigide.

— Je dois vous féliciter pour votre coupe de cheveux – elle est impeccable – et aussi pour votre tenue vestimentaire tout à fait charmante. Je vous trouve très élégante, très femme.

Elle murmura un « merci ». Je crus rêver : je m’apprêtais à la culbuter sur son bureau de cadre bancaire comme une vulgaire petite boniche, et elle me remerciait pour mon compliment !

— Écartez les cuisses, je ne vais pas faire tout le travail ! Et déboutonnez votre robe devant. Gardez vos chaussures, bien entendu : vous êtes beaucoup plus bandante comme ça.

Elle obéit et prononça presque dans un gémissement :

— Faites vite, je vous en prie...

Quand elle fut bien en position, je relevai lentement sa robe, dévoilant ses jambes nues, ses cuisses, et enfin ses fesses ravissantes ; je coinçai le tissu sous sa ceinture pour qu’il ne retombe pas.

— Félicitations, ma chère banquière : vous avez toujours décidément un merveilleux cul, toujours aussi somptueux et désirable.

Je me mis à lui caresser les fesses, des reins jusqu’à la naissance ces cuisses, jouant avec les globes satinés et souples, puis mes doigts fondirent directement sur sa vulve bien ouverte que je me mis à presser et masser, après quoi je fis pénétrer ces mêmes doigts dans la bouche et la forçai à les sucer en deux-trois allers-retours. Ressortant mes doigts bien humides, je lubrifiai l’entrée de sa grotte ; la crainte la crispait et la laissait toute sèche.

Sans perdre plus de temps je me plaçai à l’orée de sa chatte, la saisis par les hanches et m’introduisis en elle d’une seule poussée. Je commençai à la besogner lentement et profondément, sur un rythme de métronome.

— Mmmm… on est toujours aussi bonne, ma petite banquière ; j’ai toujours autant de plaisir à vous baiser. Et vous devriez être fière : c’est l’une des baises les plus chères de l’histoire du sexe. C’est pourquoi d’ailleurs vous comprendrez aisément que je suis très exigeant avec vous, et que je vais vous demander beaucoup.

Mes mains lâchèrent ses reins pour se glisser dans l’échancrure de sa robe pour lui foutre brutalement les seins à l’air (en les faisant passer sous le soutien-gorge) et se refermèrent sur eux comme les serres de l’aigle sur sa proie : c’est en lui malaxant ses belles pêches que j’accentuai mon emprise ; et, pesant de plus en plus sur ses reins, m’appuyant de tout mon poids sur son dos, je me mis à la trombiner à un rythme accéléré. À chaque coup de bite je butais dans le fond de son ventre ; elle se mit à haleter, et ses mains agrippèrent le rebord opposé de son bureau pour ne pas être emportée par mes coups de boutoir. Mes doigts s’étaient crispés sur ses mamelons que je faisais rouler durement avec une pression croissante, et j’avais l’impression que désormais elle donnait elle-même des coups de reins en arrière pour s’en prendre plein la chatte.

— Ah, mon Dieu… laissa-t-elle échapper dans un cri étouffé.

Elle était une nouvelle fois en train de prendre son pied, bien malgré elle.

— Tu aimes ça, ma petite salope ! Sous tes grands airs de dame de la finance, tu aimes te faire culbuter comme une petite pute et jouir comme une chienne, espèce de dépravée !

En guise de réponse, elle lâchait des petits cris incontrôlés à chaque fois que je tapais tout au fond d’elle, et je sentais que sa cyprine commençait à lui sortir de la chatte et lui couler sur le haut des cuisses. Son état m’excitait au plus haut point, et sentant le paroxysme arriver, je me retirai et lui ordonnai :

— Accroupie, et vite ! Vous allez me vider les couilles et tout avaler !

La banquière, toute rouge et le visage en désordre, s’exécuta : ses lèvres se refermèrent sur mon vit ; je lui saisis la tête et finis de la baiser par là. Je me répandis dans sa cavité buccale et la vis, bien docile, me téter la queue, les joues creuses, et déglutir plusieurs fois : elle était en train d’avaler ma semence !

— Humm... On va finir par croire que vous y prenez goût, à mon sperme...

Elle se releva, s’empressa de se rajuster, faisant revenir ses seins dans son soutien-gorge, reboutonnant sa robe, prit un mouchoir en papier et s’essuya la bouche tandis que je remettais ma queue encore douloureusement gonflée mais impeccablement nettoyée dans mon boxer.

— Bon, ma chère Madame Mareuil, j’attends votre appel pour convenir d’un rendez-vous chez moi un après-midi – celui qui vous convient, je vous laisse le choix – pour la signature de l’avenant ; et je tiens à ce que ce soit vous qui m’appeliez. Je vous conseille d’ailleurs de le faire avant la fin de la semaine, sinon, comme vous vous en doutez, je prendrai le téléphone et, croyez-moi, le prix à payer pour vous – de votre personne, bien sûr – sera beaucoup plus lourd ; je peux me montrer beaucoup moins tendre, et même très sévère. Ce serait quand même dommage de marquer ce joli corps de quelques zébrures peu discrètes que vous aurez beaucoup de difficultés, malgré vos efforts, à dissimuler à votre mari.
— Oh, je vous en prie… lâcha-t-elle avec de l’effroi dans le regard, mais elle se reprit aussitôt : je vous appellerai, bien entendu ; laissez-moi juste le temps de préparer les papiers.
— Vous aurez le temps, surtout si vous vous occupez de mon dossier en priorité. Ne suis-je pas votre meilleur client ? Et ne mérité-je pas un traitement de faveur, ainsi que toute votre attention et tout votre soin ?
— Si, si, bien sûr, vous le savez…
— À la bonne heure ! J’aime bien quand vous vous conduisez comme une bonne fille, lui dis-je en lui caressant tendrement la joue. Et, pour notre prochain rendez-vous chez moi, j’exige que votre chatte soit totalement épilée, quoi que ça vous en coûte ; et vous avez intérêt à porter une tenue des plus sexys... Ne me décevez pas.

Et juste avant de prendre congé je m’approchai, et sans la toucher je fondis sur sa bouche et la gratifiai d’un long baiser profond et langoureux. Quand nos lèvres se décollèrent, je la découvris terriblement troublée.

— Au revoir, Madame Mareuil, lui lançai-je en prenant la porte.

Et j’ajoutai avec un discret clin d’œil :

— À très vite.
— À bientôt, répondit-elle avec une assurance vite recouvrée.

Auteur : Docsevere

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