dimanche 19 avril 2015

Un père admirable (10)

Relisez le chapitre 9

[Jessica au bord de la piscine]

Je m’installai confortablement sur le transat deux places à bascule. Le soleil réchauffait ma peau tandis que le vent la caressait sensuellement.

J’appréciais beaucoup Luc car il était mon parrain ; il comptait beaucoup pour moi. Pas autant que mon père, ni de la même façon. Celui-ci était grand, les cheveux châtain et les yeux bleus. Toujours souriant, son regard profond transpirait de gentillesse. J’étais surprise qu’il se rende complice de la relation que j’entretenais avec mon père alors que sa femme, Liliane, est la meilleure amie de ma mère. C’est d’ailleurs grâce à leur amitié à toutes les deux que je n’avais jamais été coupée de Luc. Grâce à lui, j’avais pu garder un contact avec mon père à travers des dessins et des lettres. Cette complicité nous avait beaucoup rapprochés toutes ces années. Je lui en étais reconnaissante. C’est avec cette pensée émotive qui me fit monter les larmes aux yeux que je décidai de plonger dans la piscine avant que mon père arrive.

Je finissais ma troisième longueur de nage papillon lorsque je vis ce bel homme, la chemise ouverte sur son corps de rêve, assis sur le bord de la piscine en train de me regarder.

— Je croyais que les sirènes étaient une légende, sourit-il.

Je m’approchai de lui en marchant. L’eau, m’arrivant à hauteur de la poitrine, me forçait à me déhancher pour avancer.

— Est-ce que cette belle sirène accepterait de me donner un baiser magique ? demanda-t-il.

J’admirais les reflets lumineux de la piscine qui jouaient sur sa peau bronzée qui appelait mes caresses et mes baisers. Il tendit sa main caressante pour amener mon visage vers lui. Ses lèvres prirent délicatement possession des miennes. Sa langue les effleura avant de s’insérer entres elles. Son baiser si doux devint langoureux. Mes caresses sur son torse se firent passionnées et pressantes. Mon père plongea son bras dans l’eau. Je sentis sa main agripper mes genoux. Il m’enleva de la piscine en souplesse. Je me serrai contre son corps bouillant. Nos bouches toujours liées, il me déposa délicatement sur le transat. Nos mains caressaient lentement le corps de l’autre, conquérant un nouveau monde de douceur.

— Tu peux enlever ton haut de maillot de bain pour faire bronzer tes seins, murmura mon père.
— Oui, mais Tonton…

Cela me gênait un peu de dévoiler mon corps à mon parrain.

— Ne t’inquiète pas : on ne te voit pas très bien de la terrasse.

Il m’embrassait dans le cou tout en dénouant le nœud derrière ma nuque. Ces gestes doux me faisaient frissonner.

— Tu n’as pas à avoir honte de tes seins ; ils sont magnifiques, murmura-t-il contre ma peau. C’est un crime de les cacher.

Sa bouche les explorait lentement en les découvrant. Ses mains me cambraient contre lui en défaisant le nœud au milieu de mon dos. Les miennes caressaient ses cheveux tandis que j’embrassais son front pour l’encourager à continuer. Mon parrain pouvait bien nous surprendre ou nous regarder, cela m’était complètement égal. Il n’y avait plus que mon père qui comptait et la tendresse qu’il me donnait.

Sa langue traçait des chemins sur mon ventre humide. Ma peau se modelait sous sa caresse, comme un paysage subissant les lois de la nature dont il serait le Créateur. Ses mains massaient délicatement mes seins nus. Mes petits tétons dressés formaient des sommets pointus sur ces montagnes ainsi érigées.

Mon père se releva pour ôter sa chemise. J’en profitai pour admirer et caresser son torse. Il me sourit et m’embrassa. J’entendis un clapotement et de l’eau s’écouler. Soudain, un liquide tiède vint se déverser sur mon cou, arrosant mes seins, s’écoulant sur mon ventre et entre mes jambes. Surprise, je libérai mes lèvres des siennes. Il avait trempé son vêtement dans la piscine pour m’arroser avec. Sa langue vint embrasser mes dunes et boire à la cascade qu’elles provoquaient.

Son bras dans mon dos me serrait contre lui. Je me cambrai en arrière pour savourer ses caresses et en apprécier les sensations. Mes mains caressaient ses cheveux et ses épaules. Il buvait ce fleuve, suivant son lit jusqu’à sa jetée entre mes jambes. Sa langue vint caresser l’excroissance dure et gonflée de mon bouton, sous le tissu de mon maillot de bain. Il la passa sous la bordure de la culotte. Je pouvais sentir la lave de mon intimité s’écouler abondamment sur sa langue douce et bouillante. Sa bouche aspira mes lèvres et mon bouton, me faisant crier de plaisir. Mon intimité ainsi emprisonnée était embrassée, léchée, caressée, sucée. Mes gémissements se muaient en cris incontrôlés. Un premier orgasme vint soulever mon corps et le faire trembler de plaisir.

Mon père passa ses bras sur mon ventre pour caresser et masser mes seins. Il gardait mon intimité entre ses lèvres. Sa langue caressante ravageait mon bouton et s’insérait régulièrement et furtivement dans mon volcan en éruption. Il me buvait littéralement. Ainsi maintenue, je subissais les assauts du plaisir que cet homme si précieux me donnait. Mon corps n’était plus que frissons, vibrations et sensations sous ses caresses. Ma bouche ne savait plus que gémir et crier. Mes mains libres battaient l’air, cherchant quelque chose pour s’agripper afin de me maintenir en relation avec le monde réel. Ma jouissance était si grande qu’elle n’en finissait plus. Mes orgasmes étaient si répétitifs que je ne pouvais les compter. J’appartenais à sa langue. J’entrais dans un monde de sensations dont j’ignorais l’existence et sur lequel je n’avais aucun contrôle. J’en pleurais de plaisir et de peur.

Mes mains agrippèrent les bras puissants et rassurants de mon père, faisant de lui mon ancre dans le monde réel. Ainsi rassurée par ce contact, je m’autorisai à me libérer et je m’offris totalement à lui. Victime d’un plaisir incontrôlable, mes doigts le serraient, le pinçaient, le griffaient, tiraient ses cheveux et caressaient son visage.

Ses lèvres embrassèrent l’intérieur de mes cuisses, me libérant de cette explosion de sensations. Mes yeux furent éblouis par le bleu lumineux du ciel lorsque je les ouvris. J’eus beaucoup de mal à reprendre mon souffle. Ma gorge trop sèche m’empêchait d’avaler ma salive. Mon père vint s’allonger entre mes jambes. Son sexe en érection frotta contre mon entrejambe, me faisant gémir d’envie.

— Tu as pleuré, remarqua-t-il, surpris.
— C’est la première fois que j’ai autant de plaisir ; ça m’a fait peur.
— J’ai mis ma menace à exécution, sourit-il.

Il m’embrassa tout en se frottant lentement contre moi. Je caressais intensément sa peau et ses fesses, le pressant contre mon corps. Je voulais qu’il comprenne que j’étais toute à lui et que je le désirais en moi. Ses mouvements de bassin se firent plus intenses et plus précis tandis qu’il m’embrassait dans le cou.

— Ouvre les yeux, chuchota-t-il.

Mon visage tourné vers la terrasse, je pus voir mon parrain en train de siroter une bière, une cigarette entre les doigts. Tandis que son autre main caressait son sexe par-dessus son short. Il me sourit en me faisant un clin d’œil.

— Papa, Tonton nous regarde, murmurai-je en gémissant sous la caresse de sa langue.
— Ça a dû l’exciter de te voir jouir autant.

Ses mains et sa bouche caressaient et embrassaient savamment mes seins, me faisant frissonner.

— Tu veux que je lui dise d’arrêter ? demanda-t-il.
— Non, soupirai-je.

Je ne voulais surtout pas qu’il arrête ses caresses qui me donnaient tant de plaisir. Mes mains parcouraient son corps et sa peau. Je voulais profiter de chaque instant si précieux à mon cœur ; le reste n’était que pacotille. Je passai mes mains si fines dans son jean. Elles entrèrent en contact avec ses fesses si douces et bombées que j’affectionnais. Je l’entendis soupirer contre mes seins. Je le pressai encore plus contre moi. Son bassin ondulait, frottant son sexe plus intensément contre mon bouton. Le transat à bascule accompagnait nos mouvements, intensifiant mon excitation. Nos bouches s’effleuraient en gémissant d’envie et de plaisir. Nos peaux en sueur étaient brûlantes...

— J’ai envie que tu enlèves ton pantalon, dis-je.

Il me regarda, hésitant ; puis, s’asseyant sur le bord du transat, il me tourna le dos pour l’enlever. Je me plaçai derrière lui, embrassant sa nuque et caressant sa poitrine. Je me pressais contre lui pour frotter mes seins et mes tétons dressés contre sa peau. Je fis descendre ma main sur son boxer de bain afin de caresser son érection. Je le vis regarder mon parrain en soupirant, les yeux mi-clos. Celui-ci avait une main dans son short ; elle s’agitait rapidement sous le vêtement.

J’embrassai mon père dans le cou en passant mes doigts sous son maillot de bain. Il me laissa faire en gémissant et écarta largement les jambes. Mon parrain avait une vue parfaitement dégagée sur ma main qui faisait de longs va-et-vient sur le sexe vigoureux et dressé sous le tissu. Mon père gémissait au creux de mon oreille. Il agrippa soudainement mes doigts, arrêtant leurs caresses.

— Doucement, ma belle : tu vas me faire jouir, soupira-t-il.

Cet aveu me fit mouiller abondamment. Je le trouvai si beau, le visage rougi de plaisir, que je l’embrassai tendrement. Il posa sa main sur ma joue pour m’embrasser passionnément. J’enlevai doucement la mienne de son maillot et me dégageai de son dos. Je la posai sur son torse en effectuant une légère pression pour l’allonger. Je le chevauchai prudemment, m’asseyant confortablement sur son sexe. Ses yeux cherchaient les miens, nos bouches toujours liées. Ses mains caressaient mon dos, me pressant contre sa poitrine. Son bassin ondulait contre mon entrejambe. Ses jambes fléchies écartaient considérablement les miennes. Ses va-et-vient frottant intensément sur mon bouton m’excitaient. Ses mains vinrent empoigner mes hanches pour qu’elles accompagnent ses mouvements. Je pouvais sentir son sexe caresser l’entrée de mon vagin. Je gémissais d’envie. Je voulais le sentir profondément en moi. J’étais prête à me donner entièrement et sans aucun regret.

Je me relevai en frottant mon intimité toute trempée sur sa verge. Je le vis admirer le mouvement de mes seins qui ballotaient au rythme de nos bassins. Je les pris en coupe dans mes mains et entrepris de les caresser. Je les pressais entre mes doigts en veillant à laisser mes tétons dressés à l’air. Je les massai en leur faisant faire des cercles. Mon père, hypnotisé, ne les quittait pas des yeux. Ses va-et-vient se firent plus rapides et plus pressants contre mon intimité. Je sentais son sexe durcir encore sur mon bouton et mon vagin.

Soudain, il me plaqua contre sa poitrine.

— Tu m’excites trop, dit-il d’une voix rauque que je ne lui avais jamais entendue.

Il embrassa passionnément mes lèvres. Son cœur cognait si fort contre ma poitrine que j’en avais mal. Ses mains descendirent le long de ma colonne vertébrale et se saisirent de mon fessier, me faisant gémir. Il reprit lentement ses va-et-vient. Ses doigts caressèrent l’intérieur de mes fesses en les écartant légèrement ; je trouvai cela très excitant. Mon père massa les côtés de mon vagin. Puis il en caressa l’entrée en faisant de légers va-et-vient qui accompagnaient ses mouvements du bassin. Je la sentis s’ouvrir, et un flot de mouille s’en échappa. Nous gémîmes de désir. Un doigt s’incrusta sous mon maillot de bain.

— Oh ! C’est une très grosse envie que tu as là, ma belle, gémit-il en insérant son doigt dans mon intimité.

Un petit cri s’échappa de mes lèvres tandis qu’il faisait de profond va-et-vient en moi.

— Dis-moi ce que fait ton parrain.

Je me retournai pour le voir. Il était toujours assis à la même place.

— Il a sorti son sexe et se caresse.
— Humm… et il est comment ?
— Je peux pas le voir : il va trop vite.

Son visage était rouge de plaisir. Il me souriait en se léchant les lèvres entrouvertes. Je pouvais facilement l’imaginer en train de gémir. Luc avait une très belle vue sur mes fesses et mon maillot de bain écarté.

— Ça t’excite ?
— Oh ! Oui… gémis-je.
— J’ai envie de t’enlever ton maillot de bain… déclara-t-il.

Sans attendre de réponse, mon père baissait déjà ma culotte et la fit habilement glisser entre mes jambes grâce à ses pieds.

— Oh ! Papa… fis-je, surprise de me retrouver si rapidement déculottée.

Avoir les fesses à l’air et ainsi exposée au regard de mon parrain me fit mouiller abondamment. Un long filet de mouille très chaud s’échappa de mon vagin et coula sur mes cuisses écartées.

— Ouah ! fit mon père en prenant mon minou dans sa main.
Il inséra de nouveau son doigt dans mon intimité qui l’aspira entièrement, puis il y fit des va-et-vient rapides et profonds comme j’aimais. Son bassin ondulait de façon harmonieuse, sollicitant mon bouton. Il inséra un deuxième doigt. Je sentis mon vagin s’ouvrir plus encore. À ma grande déception, mon père se mit à en caresser seulement l’entrée. Mon désir devint plus fort. Mon bassin accompagnait le sien. Je me cambrai plus pour le sentir plus profondément en moi.

— J’ai peur de te faire mal si j’enfonce plus mes doigts, déclara-t-il.
— Essaie, gémis-je.

Je les sentis glisser tout seuls et mon vagin s’écarter plus encore sur leur passage.

— C’est juste, mais ça passe, murmura-t-il.
— Oh ! Oui, c’est bon… gémis-je.

Mon vagin était douloureusement dilaté tant mon désir était important.
Mon père inséra de nouveau ses doigts profondément en moi. Ses va-et-vient étaient longs et rapides. Je me cambrai pour les recevoir entièrement. Ses mouvements de bassin étaient tout aussi intenses. Nous gémissions sans nous quitter des yeux. Je pouvais lire le plaisir et l’excitation dans son regard. Son sexe était encore plus dur et gonflé contre mon bouton.

— Il fait quoi, ton parrain ? demanda mon père en soupirant.
— Je vous regarde, répondit celui-ci.

Nous nous regardâmes, surpris, puis je me retournai vivement. Luc se tenait nu, à deux mètres de nous, le sexe dans la main. Son corps était mince et élancé. Ses muscles fins n’étaient toutefois pas aussi bien marqués que ceux de mon père.

— Il se caresse, déclarai-je.

Je n’arrivais pas à quitter son membre des yeux, tant sa taille m’impressionnait. Il était tendu en direction de mes fesses. Je pouvais voir sur le visage de mon parrain que son plaisir était intense et l’orgasme très proche.

— J’ai envie qu’il jouisse sur mes fesses, déclarai-je.

Mon père lui fit signe de s’approcher ; mon parrain obéit. Nous gémissions de plaisir tous les trois ensemble. Cela m’excita tellement de voir Luc se masturber en regardant mon intimité avec tant de désir que je jouis sur les doigts de mon père. Celui-ci augmenta l’intensité de sa pénétration et la pression de son bassin contre le mien. Je sentis son sexe gonfler encore entre nos ventres tandis que son sperme jaillissait par une ouverture que son gland avait faite sous la bordure de son boxer. La semence brûlante de mon parrain vint arroser mes fesses et ma raie bien ouverte. Je la sentis couler sur mon anus et mon vagin que mon père doigtait copieusement. Nos cris se mêlaient tandis que l’orgasme me faisait vibrer, mon bassin ondulant sur son sexe.

Auteure : Feeling

Lisez la suite bientôt

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