mercredi 15 octobre 2014

Le club des nymphes (17 et 18)

Relisez les chapitres 15 et 16
CHAPITRE 17 (LOUISE) : TRAVAIL D’ÉQUIPE


— Eh bien, quel magnifique spectacle nous ont offert nos deux candidates, reprend Sarah. On peut dire qu'elles se sont surpassées. Je tiens à les féliciter toutes les deux.

Thomas est reparti dans le public. Plusieurs nymphes sont en train de pousser les six fauteuils dans le fond de la salle. Elles installent ensuite de fins tapis au centre. En quoi va consister le second round ?

— Elles se sont montrées admirables, mais ce sera loin d'être suffisant pour diriger un club, continue Sarah. Car oui, diriger un club, c'est avant tout un travail d'équipe. La présidente a beau être la plus douée possible, si elle n'a pas une bonne équipe sur laquelle elle peut compter, alors elle ne fera pas grand-chose. Notre deuxième épreuve testera donc l'esprit d'équipe. J'aimerais donc que les membres de chaque équipe rejoignent leur présidente.

Les six autres nymphes de première année quittent alors le public, l'air surpris. Visiblement, aucune d'entre elles ne s'attendait à devoir participer au spectacle ce soir.
Miss Punk, Marie et Anita se dirigent vers moi tandis qu'Élisa, Natacha et Sandrine rejoignent Élodie.

— Bien, poursuit Sarah. J'aimerais que chacune d'entre vous nous donne le poste qu'elle occupera si jamais leur candidate est élue.
— Je serai la vice-présidente d’Élodie, commence Natacha.
— Et moi sa trésorière, poursuit Élisa.
— Quant à moi, je serai la secrétaire, termine Sandrine.

Sarah se tourne vers notre équipe et nous demande la même chose.

— J'occuperai le poste de vice-présidente de Louise, débute Anzhelina.
— Ce sera moi la trésorière, déclare Anita.
— Secrétaire, se contente de dire Marie.
— Merci à tous, reprend Sarah. Laissez-moi maintenant expliquer cette épreuve. Après avoir brillamment donné de leur personne lors de la première épreuve, nos candidates sont sûrement très fatiguées. Elles ont bien mérité de jouir elles aussi. Mais pour cela, elles doivent se reposer sur leur équipe. La victoire reviendra donc à la première équipe qui fait jouir sa présidente. Vous aurez le droit d'utiliser quelques accessoires, mais pour cela il vous faudra remporter les défis. Chaque défi opposera une fille de votre équipe au choix à une fille de l'équipe adverse. Celle qui remporte le défi remporte l'accessoire. Il y a trois défis, alors vous devrez toutes y passer.

Donc si je comprends bien, je n'ai rien à faire pour cette épreuve. Juste les regarder agir et attendre qu'elles s'occupent de moi.

— Premier défi, lance Sarah. Vous allez vous affronter dans un strip-tease.
— Laissez-moi y aller, demande Miss Punk, assez sûre d'elle. Ce défi est pour moi.

Personne ne fait d'objection. L'autre équipe désigne Natacha pour l'affronter.
Les deux filles se positionnent au centre de la salle tandis que nous nous mettons à l'écart pour leur laisser la place. Anzhelina est habillée d'une jupe écossaise à volants avec une petite chaîne en guise de ceinture, d'un corset fermé par une fermeture Éclair qui met très agréablement ses seins en valeur. Elle porte aussi des bas et des gants.
Natacha est vêtue d'un petit short rose moulant qui laisse nettement apparaître la forme de son string, et d'un débardeur blanc lui aussi moulant.

Sarah déclenche de la musique et les deux filles se mettent à se déhancher au rythme des notes. Anzhelina se montre très adroite et ses mouvements sont d'une sensualité exquise. Elle dit avoir pris des cours de danse il y a quelques années. Elle danse de façon à mettre en valeur ses formes, mais sans entrer dans la vulgarité. Ses mains glissent le long de son corps comme le feraient des gouttes d'eau. À côté, Natacha a l'air bien pataud. Elle tente d'imiter au mieux les mouvements de Miss Punk, mais elle ne lui arrive pas à la cheville.
Cette dernière descend lentement la fermeture Éclair de son corset tandis que Natacha s'évertue à enlever d'un coup son débardeur, laissant bondir sa grosse poitrine à l'air libre. Anzhelina dévoile lentement sa chair en ouvrant peu à peu son corset, puis finit par le laisser tomber à terre. Tandis que Natacha se triture les nibards afin d'exciter au mieux le public, Anzhelina effleure délicatement sa poitrine et se passe une main dans les cheveux tout en faisant onduler son corps charnellement. Elle a l'air d’être complètement plongée dans ce qu'elle fait. Elle est vraiment magnifique, sa peau laiteuse donne envie d'être lapée. Elle offre du charme alors que Natacha démontre sa vulgarité.

Miss Punk abandonne peu après ses gants et s'apprête à faire descendre sa jupe écossaise. Natacha tente d'imiter sa grâce en faisant descendre son mini-short. Une fois le bout de tissu arrivé en bas de ses chevilles, elle tend sa croupe au public sans aucune distinction et se claque les fesses.
C'est au tour d'Anzhelina d'abandonner sa jupe. On découvre que ses bas sont autofixants. Cela lui va à ravir.
Natacha arrache son string minimaliste, dernier vêtement qui la recouvrait à peine, et se retrouve à ne plus savoir quoi faire en attendant que la musique se termine. Elle essaie alors quelques pas maladroits.
Miss Punk finit elle aussi son spectacle après avoir retiré ses bas et son string en continuant d'onduler passionnément sur la musique.
Les notes s'arrêtent finalement et le public applaudit. Sarah fait voter ce dernier pour déterminer le vainqueur. Sans surprise, Miss Punk remporte le défi. Notre présidente lui demande alors de piocher au hasard un bout de papier dans un sac. Elle en ressort un et lit « plumeau ». Camille, la nymphe de seconde année, lui apporte donc le plumeau qui a servi la dernière fois pour l'initiation. Nous venons de remporter notre premier accessoire.

— Bien, reprend Sarah. Le second défi consistera à simuler un coït avec un favori au choix. Celle qui fera la prestation la plus remarquable remportera un nouvel accessoire.

Marie et Anita se concertent pour savoir qui des deux va y aller tandis que c'est Sandrine, la brune Espagnole, qui est choisie par l'autre équipe. Finalement, Marie s'avance pour prendre part au défi. Je lui lance un « Bon courage ! ».
Les deux filles choisissent chacune un favori de première année, des gars qui ont étés intégrés par Élodie. Pour le défi, on laisse la place libre sur le canapé aux mecs qui s'y allongent. Chacune des filles se met à califourchon sur le favori et commence à onduler du bassin comme si elles avaient un sexe masculin planté en elles.

Sandrine se frotte le long du corps de son favori en poussant de parfaits gémissements. Le mec s'appelle Nathan Craine ; c'est l'un des candidats à la présidence du BDE. Il est plutôt grand et athlétique. Il a des yeux d'un bleu profond, des cheveux noir de jais et des traits élégants mais qui semblent cacher quelque chose. S'il était acteur, c'est typiquement le type qu'on choisirait pour jouer le beau gosse de service qui se révèle être un immonde psychopathe. Nathan profite bien de l'occasion pour venir lui toucher les seins et le cul.

De son côté, Marie, toujours à califourchon sur Damien, son favori, pousse des petits cris timides mais néanmoins adorables. Ses mains glissent sur son corps et dans ses cheveux à la façon des mains d'Anzhelina quelques minutes auparavant. Ses yeux verts envoûtants ne lâchent pas du regard Damien.
Sandrine continue sa simulation de coït qui semble très réaliste. On y croirait presque. À la surprise générale, on entend d'un coup Nathan lâcher un braillement. Sarah s'approche pour voir ce qu'il en est et échange quelques paroles avec lui, que je n'entends pas d'où je suis.

— Apparemment, dit-elle à l'attention de tous, Sandrine s'est montrée tellement bonne comédienne qu'elle a même réussi à tromper Nathan, qui a fini par jouir dans son pantalon. Je crois que l'on peut, grâce à ça, donner la victoire à Sandrine.

La salle l'applaudit. Sandrine pioche un bout de papier et obtient une tapette à mouches comme accessoire.

— Anita, Élisa, il ne reste plus que vous, déclare Sarah. Pour le dernier défi, vous allez devoir être nues. Pouvez-vous vous déshabiller, s'il vous plaît ?

Les deux nymphes obéissent et se débarrassent rapidement de leurs habits. Sarah les fait mettre à quatre pattes, le cul tourné vers le public et fait signe à deux autres nymphes d'approcher. Les filles commencent à étaler du lubrifiant sur le cul d'Anita et d’Élisa, puis après leur avoir stimulé le cul, leur introduisent à chacune un plug anal. Elles sortent ensuite un godemichet et commencent à leur labourer le vagin avec.

— Bien, explique Sarah. Le troisième défi est plutôt simple. Il s'agit juste d'un jeu de questions-réponses. Celle qui parviendra à donner le plus de bonnes réponses gagne le défi. Bonne chance pour se concentrer.

Et là, Sarah sort une petite télécommande sur laquelle elle appuie. En réaction, Anita pousse un petit cri de surprise. Les plugs anaux doivent être vibrants. Les autres nymphes continuent pendant ce temps-là à faire coulisser les godes dans les chattes des filles.

— Première question : quelle est la capitale du Brésil ?
— Rio de Janeiro, répond Anita.
— Non : Brasilia, corrige Élisa.
— Bonne réponse, Élisa. Deuxième question : quel était le surnom de Louis XIV ?
— Le Roi Soleil, répond rapidement Anita. Ahh… laisse-t-elle échapper ensuite.
— Bonne réponse ! J'aurais accepté aussi Louis le Grand... La prochaine question est une charade ; écoutez bien ! Mon premier sert à empêcher un objet de bouger. Mon second est un mur que certains avions franchissent. On adore retirer mon tout aux garçons.

Les filles réfléchissent du mieux possible malgré les coups de gode. Sarah appuie de nouveau sur la télécommande et semble ainsi augmenter la puissance des vibrations des plugs anaux. Les filles ne retiennent plus leurs gémissements.

— Caleçon, s'écrie soudain Élisa. Le caleçon !
— Bonne réponse. Combien font 69 au carré ?

Du calcul mental dans ces conditions ! Je plains les filles… Celles-ci geignent maintenant bruyamment.

— Euh... 4751, tente Élisa.
— Faux.
— 4738, propose Anita entre deux petits cris.
— Non plus.
— 4761, finit par lâcher Élisa.
— Bonne réponse. Complétez cette réplique culte : « C'est bien la première fois qu'il fait des étincelles avec sa... ».
— Hum... bite ! lâche Anita dans un cri d'extase.
— Bonne réponse, répond Sarah en augmentant encore la puissance des vibrations. Épelez-moi le mot « spermatozoïde ».
— S-P-E-M... commence à répondre Élisa tandis qu’Anita trouve la force de se concentrer.
— Non, tu as oublié le R.
— S-P-E-R-M-Ahh... T-O-Z-O-I tréma-D-E, corrige Anita dans un effort fulgurant.
— Bonne réponse. Vous êtes à égalité et il ne reste plus qu'une question pour vous départager, ou plutôt une autre charade. On s'assoit sur mon premier. Mon second a servi tout à l'heure. Mon tout la rend toute dure.

Les filles réfléchissent du mieux qu'elles le peuvent, mais la chose s'avère ardue. Elles se font goder la chatte frénétiquement tandis que les plugs anaux leur stimulent atrocement le derrière. Anita a l'air de ne plus se contrôler. Elle exprime fortement le plaisir ressenti. Puis soudain, elle laisse échapper une longue plainte, signe qu'elle vient de jouir.

— Bander, lâche Élisa dans un soupir, profitant de l'incapacité de répondre de sa concurrente.
— Bonne réponse. Et la victoire revient donc à Élisa ! déclare Sarah.

L'équipe d’Élodie vient donc de remporter un deuxième accessoire. Élisa, après s'être remise de ses émotions, fouille dans le petit sac et en sort un papier. « Carotte » lit-elle.

— Maintenant que les défis sont terminés, nous allons pouvoir faire véritablement la deuxième épreuve qui consiste à, je vous le rappelle, faire jouir votre présidente. Louise, Élodie, veuillez vous allonger sur les tapis... Bon ; bien évidemment, simuler un orgasme est interdit. Pour éviter toute triche, vous serez surveillées par Camille et Aliénor. Croyez-moi, elles sauront faire la différence entre une simulation et un véritable orgasme. Sinon, pour l'équipe, il n'y a pas de règles particulières. Vous pouvez utiliser doigts et langues comme vous le voulez, et puis – bien sûr – les accessoires remportés. Bonne chance à tous !

Et c'est parti ! Plusieurs mains se posent déjà sur moi et commencent à me masser les seins, les cuisses, le ventre puis le sexe. Les filles viennent m'embrasser tour à tour, puis une bouche se pose sur mon sein pour gober un téton. Je suis déjà très excitée suite à la première épreuve et aux précédents défis. Je sens que je ne mettrai pas longtemps à jouir, mais c'est sûrement aussi le cas pour Élodie. Sur le côté, je repère Camille qui observe attentivement l'évolution de mes réactions. Pas de panique, je ne compte pas tricher. Oh oui, une langue vient de se poser sur ma chatte : c'est celle d'Anzhelina. Comme c'est délicieux ; cela me rappelle marraine.

Je préfère fermer les yeux pour la suite des opérations afin de me concentrer au maximum sur mes sensations. On promène le plumeau à chats sur mon sein droit puis sur le ventre. Le contact me fait frissonner. Une bouche s'occupe de mon autre sein tandis qu'on me lèche toujours la chatte en y enfonçant plusieurs doigts. Je mouille de plus en plus. Je me laisse sombrer dans un océan d'extase. Sentir ces mains parcourir mon corps offert, sentir ces langues goûter la saveur de ma peau et sentir ces doigts qui explorent mon intimité, quel mélange étourdissant ! J'aimerais que ce moment ne finisse jamais. Quelqu'un à l'idée de m'enfoncer le manche du plumeau dans la chatte. Ce n'est pas très gros, mais ça va plus profond qu'un doigt. Quel bonheur ! Que c'est bon quand on s'occupe ainsi de soi… Trois personnes dédiées à mon seul plaisir. Je plonge au plus profond des délices. Je suis emportée par la houle des sensations. Je suis chamboulée, secouée. Ah oui, je jouis !

— Eh bien, l'équipe de Louise remporte donc la seconde épreuve, déclare la voix de Sarah qui me ramène à la réalité.

Sarah nous laisse quelques minutes à Élodie et moi pour reprendre nos esprits avant de nous annoncer ce que sera la troisième et dernière épreuve. Je profite de cette petite pause pour remercier les filles pour les défis et pour l'orgasme qu'elles viennent de me donner.

— Plus qu'une épreuve, reprend Sarah, et celle-là sera encore en équipe. Je vous rassure, rien de bien compliqué. Nous avons réuni ce soir quarante favoris aux couilles pleines qui n'ont qu'une hâte : se les vider au fond de vos gorges. La troisième épreuve sera donc un concours de pipes. L'équipe qui parviendra à faire jouir le plus grand nombre de favoris remportera cette épreuve.
— Ça te dérange si je m'occupe de Thomas ? me demande discrètement Anzhelina. Ça fait longtemps que je ne l'ai pas sucé.
— Non, lui réponds-je. Je t'ai bien emprunté François tout à l'heure. Mais fais-le avant que ce soit sa sœur qui s'en occupe.
— Êtes-vous prêtes ? demande Sarah. À vos marques ; prêts ? Partez !

Et c'est parti pour la dernière épreuve. Quarante favoris à faire jouir pour huit filles. Cela fait en moyenne cinq mecs par fille. Rien de bien effrayant quand on a déjà vécu une initiation. Je me dirige vers mon premier mec, un troisième année, tandis que Miss Punk accourt vers Thomas. Je repère au passage Marie qui part vers Damien, le mec qu'elle a choisi tout à l'heure pour son défi. Serait-elle tombée sous son charme ?
Bref, le troisième année m'accueille avec plaisir et sort sa bite de son pantalon. Je m’empresse de la prendre en bouche et commence une fellation dans les règles. Je lèche, gobe et pompe. Pas le temps de traîner : il faut faire jouir le plus rapidement possible. Ma victime semble apprécier ce supplice et m'encourage à avaler encore plus de chair.
Je tente de le satisfaire au mieux mais il est trop gros, alors c'est compliqué.
Il positionne ensuite une main derrière ma tête et commence à me pilonner la bouche. Je le laisse faire si cela peut l'aider à le faire venir plus vite. Il finit par me lâcher une grosse quantité de sperme au fond de la gorge. J'avale tout et passe au suivant.

Ce dernier est un mec de seconde année à qui je n'ai jamais parlé. J'ignore même son nom. Peu importe, je ne suis pas là pour faire connaissance. Je me précipite donc sur son sexe plutôt fin et allongé et le gobe. Le mec lâche un soupir de satisfaction qui m'encourage à me démener. Ma bouche coulisse avec plaisir sur cette longue tige qui a meilleur goût que la précédente. J'ignore pourquoi je mets tant d'enthousiasme à réaliser cette épreuve ; ce n'est pas cela qui aura un impact important pour l'élection. Tout s'est déjà joué précédemment, enfin presque. Cette soirée, c'est juste une façon sexy de marquer le coup. Au fond, je dois admettre que j'ai quand même bien pris mon pied à jouer le jeu. Et puis, avec un peu de chance, je peux peut-être gagner deux ou trois votes supplémentaires.
Et voilà que mon deuxième gars jouit à son tour et se vide les bourses dans ma bouche. J'avale et j'enchaîne.

Le troisième est de ma promo. Lui non plus, je ne lui ai jamais parlé ; lui aussi, je vais le sucer et avaler son sperme. La différence c'est que je connais au moins son nom. Il a un petit sexe. Ce n'est pas grave ; ainsi, je vais pouvoir le prendre entièrement en bouche.

— Ah oui, c'est bon… m'affirme-t-il dans un soupir.

J'espère bien que c'est bon ! Après tout, j'ai maintenant une très bonne expérience. J'essaie de faire mentalement le compte de toutes les fois où j'ai sucé depuis le début d'année. Il y en a trop, je me perds dans le calcul. Bon, peu importe. Il vaut mieux que je me concentre sur cette bite que je suis en train de sucer. Ma langue parcourt les contours de sa tige, mes lèvres font pression sur son gland, et déjà mon homme montre des signes de jouissance prochaine. Je n'ai plus qu'à accélérer la cadence pour le faire défaillir, mais il tient bon quelques minutes de plus. Il semble vouloir profiter le plus longtemps possible de cette fellation. Qui voudrait lui en vouloir ? Je le sens vraiment sur le point d'exploser mais il se retient courageusement. Bon, assez rigolé ! La chose n'a que trop duré. Il est temps de changer de tactique. Je lui enfonce un doigt dans le cul pour le stimuler. Pris par surprise, il perd le contrôle et se lâche dans ma bouche.
J'ai à peine le temps de me relever que Sarah prend la parole.

— La troisième épreuve est terminée. L'équipe d’Élodie remporte l'épreuve avec un score de vingt-deux à dix-huit.

Elles ont fait vite, dis donc !








CHAPITRE 18 (THOMAS) : LE REVE DE LOUISE LEONNE


— Eh bien, quel spectacle ! déclame marraine. Je suis sûre que tout le monde a apprécié. Félicitons donc les deux équipes qui se sont bien défendues. Bien, il est temps de passer aux choses sérieuses. Après toutes ces émotions, nos deux candidates vont devoir maintenant faire un discours où elles exposeront leur programme pour le club. Nous allons commencer avec Élodie.

Marraine me rejoint alors sur mon canapé, me sourit et pose sa main sur ma cuisse. Ma sœur se dirige au centre de la salle pour faire son discours. Elle a encore une goutte de sperme sur le sein droit.

— Mon programme est plutôt simple en fait, déclare-t-elle. Il se résume en une phrase : « Toujours plus de sexe ! ».

La salle applaudit avec enthousiasme, ce qui fait sourire Élodie.

— Tout n'est pas encore décidé, reprend-t-elle, mais je compte bien mettre en place, avec l'aide de mon équipe, quelques événements. Pour commencer, j'ai pensé multiplier les journées sans culotte. En faire par exemple trois dans l'année au lieu d'une ou, pourquoi pas, en faire tous les mois. On pourra même convaincre le plus possible de filles extérieures au club de participer. Ensuite, nous avons pensé mettre en place des bons que les favoris gagneront dans différents concours ou défis. Des bons pour fellation ou pour sodomie, par exemple. Ainsi, quand ils remettront ces bons à une nymphe, elle devra accomplir l'action qui y est inscrite. Nous allons aussi bien évidemment augmenter le nombre de soirées organisées par le club. Croyez-moi, avec moi comme présidente, vous ne vous ennuierez jamais.

La salle applaudit de nouveau, surtout les mecs. C'est moi, ou bien ma sœur s'éloigne de l'esprit du club ? À part de rares occasions, ce sont plutôt les mecs qui étaient au service des nymphes. Avec son programme, on dirait qu'elle tente de renverser la tendance. Certaines nymphes risquent de ne pas apprécier. Avec un peu de chance, cela pourrait lui porter préjudice. Elle vise peut-être plus les votes des favoris avec ce genre de programme ; bien que leur vote compte la moitié de celui d'une nymphe, ils sont plus nombreux.
Quoi qu'il en soit, Élodie s'en va se poser dans le public alors que Louise prend sa place au centre de la pièce. Que va-t-elle bien proposer pour concurrencer Élodie ? Elle ne m'a rien dit à ce propos. J'observe ses courbes et repense à ce qu'il s'est passé à la première épreuve. Je suis soulagé que finalement elle ait appris ce qu'il s'était passé avec Élodie, soulagé aussi qu'elle m'ait pardonné. Ça m'aurait fait mal de la perdre maintenant.
Elle est là, debout et nue devant tout le monde et s'apprête à parler. Allez, bon courage ma douce. Fais de ton mieux.

— Ne t'inquiète pas, fillot, lance marraine à mes côtés. Elle va vaincre.

Puis Sarah fait un signe à Aliénor qui se dirige vers la porte d'entrée. Bien qu'intrigué, je détourne les yeux de cette scène au moment où Louise prend la parole.

— Il était une fois une jeune femme du nom de Samantha Angevin, se lance-t-elle. Samantha intégra une année une école de commerce où la vie scolaire était d’un ennui le plus total. Elle intégra cette école avec un rêve en tête ! Elle rêvait d’un endroit où les filles n’auraient pas à cacher leurs goûts particuliers, où les filles pourraient s’adonner à tout ce qu’elles aiment sans risque et sans crainte de jugement. Elle fit alors part de son idée à ses amies et, après maints efforts, le club des nymphes vit le jour. Il dut malheureusement couvrir son activité principale sous couvert d’activités caritatives. À partir de ce jour, la vie scolaire ne fut plus jamais d’un ennui à mourir.
Vous connaissez tous ces paroles : elles sont extraites du discours d'initiation. Eh bien, laissez-moi vous dire qu'elles sont probablement fausses, ou tout du moins en partie fausses. Je ne pense pas que le rêve de Samantha Angevin se limitait seulement à créer un club où les filles pourraient vivre pleinement leurs fantasmes. Je ne pense pas que l'activité caritative du club à ses débuts n'était là que pour faire couverture. Au contraire, je pense que cela faisait partie intégrante du rêve de Samantha. Et puis, quitte à se cacher derrière une fausse activité, elle aurait pu choisir un truc plus banal. Non, elle a choisi une voie plus humaine.
C'est pourquoi, si je suis élue présidente, je redonnerai à ce club un élan caritatif. Réfléchissez à tout ce qu'on pourrait accomplir, à toutes les personnes à qui on pourrait rendre service…
Nous avons en nous un énorme potentiel ; autant s'en servir pour de bonnes causes. Je me trompe peut-être. Il est probable que cela ne faisait pas partie du rêve de Samantha. En tout cas, je peux vous affirmer que c'est mon rêve.

Mon cœur bat la chamade sur le rythme de ce discours. J'ai bu l'intégralité de ses paroles. Cette fille est vraiment exceptionnelle. C'est une perle rare. Comment ai-je pu ne pas apercevoir à quel point elle était spéciale ? Au diable l'égoïsme de ma sœur ; vive la générosité, l'altruisme, la sagesse et la douceur de Louise ! Cette fille est vraiment bourrée de qualités. Il faut qu'elle gagne ! IL LE FAUT !

Je suis le premier à l'applaudir. Je suis bientôt suivi par marraine, Miss Punk, Marie, Anita, François et plein d'autres. Malheureusement, d'autres se montrent plus réticents. J'ai peur que l'égocentrisme et le narcissisme les poussent à rejeter cet ange.

D'un coup, quelqu'un d'autre est en train d'applaudir Louise avec enthousiasme : Aliénor a ouvert les portes d'entrée et fait pénétrer dans la salle une grande femme blonde d'environ la trentaine. L'inconnue s'avance vers Louise tout en continuant à claquer des mains. Le calme revient peu à peu. Comme moi, les autres ont l'air intrigué par la venue de cette femme. Je me tourne vers Sarah, le regard interrogateur. Elle me sourit et me fait signe d'écouter ce que cette inconnue a à dire.

— Vous ne me reconnaissez sans doute pas, commence-t-elle, mais pourtant vous me connaissez tous. Je suis Samantha Angevin. J'ai été invitée par votre présidente sortante à cette soirée et j'ai entendu le discours de cette jeune fille. J'aimerais vous dire que je suis fière que l'esprit du club que j'ai fondé se soit transmis jusqu'à aujourd'hui malgré toutes ces années. Oui, je le confirme, je n'ai pas choisi des activités caritatives au hasard. C'était vraiment un objectif majeur du club les premières années. Nous faisions la fête et vivions nos fantasmes, mais nous n'oublions pas de rendre service à notre prochain, car nous en avions le pouvoir. Je suis fière que le rêve de cette jeune fille soit l'écho du mien et je vous souhaite de l'élire, car vous avez là une véritable nymphe.

Décidément, marraine, toi aussi tu es pleine de surprises. Tu as fait venir la fondatrice du club, une femme idolâtrée, presque légendaire, pour soutenir Louise. Cette venue ne peut qu'être bénéfique à Louise. Bravo, marraine !

Louise semble tout émue de voir la fondatrice soutenir son projet. Elle ne s'attendait pas à un tel renfort. Elle a la larme à l’œil. Les applaudissements ont repris dans la salle avec bien plus d'ardeur qu'avant. C'est un véritable brouhaha. L'équipe de Louise se lève et vient l'enlacer. Je décide de suivre le pas. Je tiens à la féliciter personnellement. Je la prends dans mes bras et l'embrasse passionnément. Elle est surprise, mais me rend mon baiser.
C'est sans réfléchir que j'ai posé mes lèvres sur les siennes. Je me rends compte de la portée de mon geste au moment où nos langues se soudent. C'est comme si un incendie venait de se déclencher en feu. Mes veines brûlent d'une sensation étrange et captivante. Mes sens s'affolent et la tête me tourne. Je n'ai jamais ressenti cela avec un simple baiser. Nos bouches se séparent et nous restons de longues secondes les yeux dans les yeux. Elle les a tout pétillants.

— C'est ton petit ami ? demande Samantha, nous ramenant à la réalité.
— Euh... C'est compli... commence à répondre Louise.
— Oui, la coupé-je. Enfin, si tu veux encore de moi.
— Tu es sûr ? cherche-t-elle à se rassurer.
— Je n'ai jamais été si sûr de toute ma vie.

Louise me saute en cou de m'embrasse de nouveau. Nos langues s'entrechoquent, ranimant les flammes en moi. Nos corps, tout aussi nus l'un que l'autre, se collent. Je sens la chaleur de sa peau nourrir un peu plus mon feu. Sa poitrine est pressée contre mon torse et nos sexes sont collés l'un à l'autre.
Pendant ce temps-là, Anzhelina et les autres, qui ont bien compris qu'il nous fallait du temps, entraînent Samantha à l'écart et commencent à lui poser un tas de questions.
Je ne vois pas ce qu'il se passe dans le public : mon attention est toute dirigée sur Louise, mais je suis sûr que les choses sérieuses ne vont pas tarder à commencer. Généralement, c'est l'heure où commence la traditionnelle orgie de fin de soirée.

— Depuis quand ? me demande Louise.
— Ça fait déjà quelques semaines que ça me trotte dans la tête. Je crois que c'est depuis la journée sans culotte que j'en ai pris vraiment conscience. J'ai passé tout ce temps à chercher à comprendre ce que je ressentais au juste, pour en être sûr. Mais ce n'est seulement que ce soir que j'ai compris. Ô Louise, tu es vraiment la fille la plus merveilleuse que j'ai rencontrée ; belle, intelligente et altruiste. Tout ce que tu entreprends, c'est pour les autres. Il n'y a pas une nymphe qui t'arrive à la cheville dans ce club.

Elle a la larme à l’œil. Mes compliments la touchent véritablement. Elle est si adorable. Elle est forte, mais semble si fragile. J'ai envie de la prendre dans mes bras et de ne plus jamais la lâcher. Mais à la place, je lui prends la main et l'emmène en-dehors de la salle. Elle me suit, le regard interrogateur.
Le l'emmène dans une salle de cours et ferme la porte derrière moi, puis je l'embrasse de nouveau.

— Je préfère un peu d'intimité, lui déclaré-je.

Je n'ai pas besoin de préciser pourquoi. Nos corps se collent à nouveau l'un à l'autre. Nos langues se mélangent, nos mains partent à la découverte des courbes de l'autre. Courbes que je compte bien explorer encore et encore. Mes lèvres parcourent sa nuque, ma langue goûte la tiède douceur de ses seins jusqu'à s'enrouler autour d'un petit téton adorable. Louise penche sa tête en arrière et laisse échapper un gémissement de bien-être. Sa cascade capillaire se balance au rythme de ses respirations qui se font de plus en plus fortes.
Nous nous baissons peu à peu et nous retrouvons à terre, allongés l'un à côté de l'autre. Elle peut sentir tout le désir qui m'anime en ce moment pour elle. D'un regard, elle m'invite à le faire, m'implore même.

Mais je n'ai pas envie d'aller si vite. Elle m'a attendu jusque là, elle peut bien m'attendre quelques minutes de plus. Tout du moins, j'ai envie de lui donner du plaisir autrement. Ma bouche embrasse sa peau opaline, passant des douces courbures de ses seins au creux de son ventre pour arriver entre ses cuisses. Elle sursaute au moment où ma bouche se soude à son intimité, et pousse un cri de surprise lorsque ma langue commence à la laper.
Louise coule comme une fontaine. Tandis que ma bouche s'empare de son clitoris, mes mains ne restent pas inactives et cajolent l'intérieur de ses cuisses et son ventre. Une main se pose sur ma chevelure pour la caresser.
Je repense à toute cette année passée. Comment ai-je pu être si aveugle ? Elle était là, à mes côtés quasiment tout le long, et c'est seulement maintenant que je la découvre vraiment. Pourquoi ai-je mis tant de temps à comprendre ce que je ressentais vraiment pour elle ?

— Oh oui, c'est bon… soupire-t-elle.
— Pas aussi bon que celui que tu as reçu tout à l'heure, je suppose.
— Ne te sous-estime pas, Thomas.

Sa réponse me fait sourire. Je suis fier de lui apporter ce bonheur. Elle le mérite vraiment. Je la lape encore, lèche la source de son nectar, déguste ce doux abricot sucré. Louise gémit et bouge de plus en plus, comme si elle ne savait pas comment se positionner. Son corps est bouillant.

— Je n'en peux plus ; viens en moi, s'il te plaît. Je veux te sentir.
— Tu es sûre ? plaisanté-je.
— Bien évidemment… Allez, viens ! s'impatiente-t-elle.
— Attends encore un petit peu, la nargué-je.
— Pitié… Dépêche-toi… implore-t-elle. Fais-moi l'amour maintenant !
— Bon. Puisque telle est ta volonté, fais-je sur un ton faussement blasé, je me vois contraint d'obéir.

Je remonte ma bouche, emprunte lentement la route de ses courbes pour atteindre son délicieux visage. Mon sexe se colle au sien et, d'une légère pression, fait naître un contact plus intime. J'enveloppe Louise dans mes bras comme pour la protéger à jamais.

— Ah, enfin… soupire-t-elle de satisfaction.
— J'aime me faire désirer, lui fais-je.
— Oui, en effet, tu sais te faire désirer.

Oui, je sais, Louise ; je me suis trop fait désirer. Désolé d'avoir mis tout ce temps à comprendre mes sentiments. Mais maintenant, l'heure est venue pour nous deux. Je suis à toi et tu es à moi.

Notre contact est doux, sensuel, agréable, bercé par de petites oscillations régulières. Elle semble s'être calmée de me sentir en elle. Sa tête est enfouie dans mon cou. Nous n’entendons plus que le bruit de nos respirations et du léger clapotis produit par notre aventure. Je la serre plus fort dans mes bras. Je ne veux pas la lâcher. Maintenant que je t'ai enfin trouvée, que j'ai enfin compris, je ne te laisserai pas partir. Je te le promets !
C'est étrange, c'est bien différent de quand je le fais avec Sarah. J'ai toujours pris énormément de plaisir avec elle, mais aujourd'hui c'est différent. Je me sens comme en harmonie, en osmose avec Louise. J'ai l'impression de ne faire qu'un avec elle. Plus je m'enfonce dans cette voie avec elle, plus je sais que je ne me suis pas trompé de route. Plus rien ne semble n'avoir d'importance, si ce n'est elle.

Ses mains me caressent le dos. Cette douce balade sur ma colonne vertébrale est envoûtante. Je l'entends pousser des petits gémissements adorables. La pression exercée dans mes veines augmente au fur et à mesure que notre étreinte se poursuit, mais je me retiens de partir au galop. J'ai envie de faire durer ce contact le plus longtemps possible. Je prends le temps de savourer chaque seconde. Je déguste à petit feu notre union.
Puis soudain, toujours collés l'un à l'autre, nous roulons sur le sol. Je me retrouve dos à terre, elle sur moi. Je tente de me redresser mais elle me plaque pour m'en empêcher. Elle s'installe à califourchon sur moi et prend les commandes. Affichant probablement un sourire béat, je la regarde se balancer lentement le long de mon sexe. Ses longs cheveux suivent le mouvement. Ses mains jouent aux pattes de velours sur ma poitrine. Je n'ai jamais vu les traits de son visage si paisibles. Elle est vraiment encore plus magnifique.
J'accompagne ses gestes avec quelques mouvements du bassin tandis que mes mains remontent le long de ses cuisses pour en éprouver toute la douceur et la fermeté. Elles passent ensuite à ses reins, puis à son dos pour la plaquer contre moi afin que je puisse l'embrasser. Nos langues se mêlent. Louise reste dans cette position pour prolonger ce baiser langoureux.

La pression en moi est encore plus forte. La partie n'a que trop duré. Il est malheureusement bientôt temps d'y mettre fin mais d'autres suivront, encore et encore.
J'enserre Louise dans mes bras et provoque un nouveau roulé-boulé afin de me retrouver au-dessus d'elle. Je la fixe fermement dans les yeux. Elle comprend que le jeu devient plus sauvage.
Les mouvements s'accélèrent, les respirations se saccadent et les corps s'échauffent d'autant plus. Le son de nos ébats gagne en intensité. J'aime l'entendre crier et je l'accompagne de ma propre voix. Je donne tout ce que j'ai pour lui décrocher un orgasme. Tout comme moi, je sais qu'elle en est proche.
Si proche qu'il nous faut que quelques allers-retours pour l'atteindre ensemble. Mon énergie se vide en elle et je m'écroule à ses côtés.

Nous restons enlacés l'un à l'autre durant de longues minutes après notre union, sans rien dire, juste en se fixant dans les yeux. Le moment est tellement magique... Je ne l'oublierai jamais.
C'est moi qui brise finalement ce silence si sacré :

— Je t'aime.
— Moi aussi, dit-elle, souriante.

Après plusieurs baisers langoureux, nous nous décidons à aller récupérer nos affaires au cocotier. La soirée ne devrait d'ailleurs pas tarder à se terminer. Nous passons les portes ; je croise les yeux de marraine qui me gratifie dans beau sourire. Merci pour tout, Sarah.

— Tu veux passer la nuit chez moi ? me demande Louise tandis que nous ramassons nos affaires.
— Bien évidemment, mon amour !


Auteur : Nathan Kari
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1 commentaire:

  1. toujours aussi merveilleuse cette histoire, tu devrais penser a publier !!

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