mardi 30 septembre 2014

Échange de mauvais procédés (4)

Relisez le chapitre 3

Ce lundi matin, Camille s’était levée tôt pour rejoindre la faculté : c’était en effet le jour de la rentrée universitaire. Après son départ, Michel attendit – bouillant d’une impatience mal contenue – pendant une heure pour être sûr qu’il ne serait pas dérangé par un retour inopiné de sa locataire. Comme il serait seul chez lui jusqu’en fin d’après-midi, il ne portait qu’un vieux survêtement un peu défraîchi ; c’était bien suffisant car, en ce milieu de matinée, la chaleur était déjà suffocante et le soleil dardait ses rayons flamboyants.

Michel posa son livre et se leva du confortable canapé où il rongeait son frein. À grandes enjambées, il franchit les quelques mètres qui le séparaient de la chambre de Camille, ouvrit la porte à la volée et se mit à fouiller frénétiquement parmi les affaires de l’étudiante. Il savait ce qu’il cherchait : la petite culotte qu’elle portait la veille sous son short blanc, et qu’elle avait retirée à sa demande. Elle devait bien être quelque part…

Son regard passa en revue les quelques affaires de la jeune fille : rien sur le bureau ; uniquement des stylos, des surligneurs, une règle, une agrafeuse, une loupe en équilibre instable sur le rebord du meuble… Il la remarqua mais ne fit pas immédiatement le lien avec le plan qu’il avait élaboré la veille, tout absorbé qu’il était par la recherche d’une pièce de lingerie intime de sa jeune locataire. Rien de bien intéressant, somme toute. Mais là, sous la fenêtre, le tas de vêtements posés en vrac attira son attention. Apparemment, ils étaient propres. Et si…

Bingo ! Elle était là, cachée tout en-dessous. Oh, c’était une petite culotte blanche, toute simple, avec juste une bordure en dentelle. « Pas très sexy, tout ça ; mais je vais y remédier dès demain... » Il s'en empara et la porta à ses narines : il avait fait très chaud hier, et Camille avait dû transpirer beaucoup ; mais ce n'était pas une odeur de transpiration que Michel recherchait.

Il la leva jusqu'à ses yeux pour la mettre en pleine lumière, juste devant la fenêtre. C'est là que son plan machiavélique lui revint à l'esprit, et il fit aussitôt l'association avec la loupe qu'il avait aperçue tout à l'heure. « La loupe... le soleil... les vêtements... Bien sûr ! On va voir ce que je vais en faire, de ses fringues... un joli feu de joie ! » Toutefois, il ne mit pas sur le champ son plan à exécution : la culotte, tout d'abord. Oui, cette culotte dont le gousset s'ornait de jolies taches pas tout à fait sèches. Michel porta le sous-vêtement à sa bouche et, d'une langue gourmande, il commença à lécher la substance odorante et encore légèrement gluante.

« Comme elle goûte bon, cette petite garce... » Il n'eut qu'à abaisser son pantalon de survêtement pour dégager son membre déjà tout engorgé de désir. Il aspira autant qu'il put le nectar de la jouvencelle et, le gardant en bouche pour s'en délecter, il entoura sa verge de la petite culotte et se mit à faire de langoureux mouvements de va-et-vient.

Sentant l'orgasme approcher, il ouvrit la culotte pour en dégager le gousset et se mit à frotter délicatement son gros gland sur le tissu encore humide des sécrétions de Camille. En peu de temps, il dégorgea quelques centilitres de sperme épais juste à l'endroit où la petite culotte avait été en contact avec la vulve de sa locataire. Après s'être soulagé, il plaça le sous-vêtement doublement souillé bien en évidence sur la table du living, puis il revint à la chambre pour vérifier si ses leçons de physique datant du collège n'étaient pas périmées.
Se saisissant de la loupe et jouant sur son inclinaison et sa distance par rapport au tas de vêtements, il se mit à concentrer les rayons du soleil jusqu'à ce qu'une fine fumée noire apparaisse. Il ne lui resta plus qu'à déposer la loupe sur le tas et aller tranquillement chercher l'extincteur qui reposait dans la cuisine depuis un accident de bananes flambées.

Le feu mit quelques minutes à prendre, mais les flammes s'élevèrent bientôt, grignotant joyeusement les tissus. Certains vêtements étaient entièrement carbonisés ; d'autres n’étaient que mouchetés de trous. Quant aux derniers, maculés de suie, ils seraient tout bonnement irrécupérables et bons à jeter. Le tout était d'attendre suffisamment pour que le feu détruise tout sans pour autant créer trop de dégâts : Michel n'avait aucune envie d'abîmer son bel appartement, mais un tout petit sacrifice était nécessaire pour rendre Camille réellement coupable, et dès lors repentante.

L'homme attendit que le feu devienne dangereux et qu'il commence à lécher le parquet situé sous le tas – alors que pas un seul vêtement n’était épargné – avant d'étouffer les flammes sous la neige carbonique. Ceci fait, il ouvrit les fenêtres pour aérer et nettoya les lieux du mieux qu’il put.

Le parquet, noirci, marquerait définitivement la conscience de Camille comme l'œil d'Abel suivait Caïn dans la tombe. Il lui rappellerait chaque jour qu'elle avait failli détruire l'appartement, et il la lierait à Michel de façon irrémédiable.

Il passa le reste de la journée à attendre impatiemment le retour de sa locataire, curieux de voir comment elle allait réagir en voyant sa culotte souillée exposée sur la table.



—ooOoo—



— Ah, te voilà enfin ! Viens voir ce que tu as fait !

Il l’entraîna immédiatement vers sa chambre pour lui montrer le tas d’habits calcinés et la loupe, posée bien en évidence dessus. Camille ne pouvait en croire ses yeux ; elle se précipita pour constater les dégâts : aucun vêtement n’avait été épargné par les flammes. À l’exception de ceux qu’elle portait sur elle et de sa tenue de soubrette, elle n’avait plus rien à se mettre… Toutefois, ce qui la perturbait le plus, ce n’était pas la perte de ses vêtements, mais l’immense culpabilité qu’elle ressentit lorsqu’elle réalisa qu’elle aurait pu être responsable d’une véritable catastrophe. « Pourtant, elle n’était pas là, ma loupe ; je l’avais posée sur le bureau… » Sous le coup de l’émotion, elle avait pâli ; et c’est d’une voix mal assurée qu’elle s’adressa à Michel :

— Mais… je ne comprends pas.
— Ah, tu ne comprends pas ? Pourtant, tu es en fac. Tu n’as rien appris, au lycée ? Archimède, ça ne te dit rien ? Et les navires romains enflammés par des miroirs au siège de Syracuse, rien non plus ?
— Je… je suis désolée, Monsieur, vraiment désolée. Je vous demande de m’excuser… Mais comment me faire pardonner ? Je ne sais plus quoi faire…
— Tu vas déjà commencer par mettre à la poubelle tout ce qui a brûlé. Après ça, tu nettoieras la chambre du mieux que tu pourras.
— Oui, Monsieur, c’est ce que je vais faire tout de suite.
— Et demain, nous irons t’acheter d’autres vêtements.
— Mais j’ai cours, moi, demain…
— Eh bien tu n’iras pas en cours l’après-midi.

« Comme ça, elle ne risquera pas de croiser un étudiant qui la connaîtrait… »
Sous le poids de la culpabilité, Camille n’osa pas refuser.

— Bien, Monsieur ; je ferai comme vous voudrez.
— Alors, commence tout de suite !

Pendant qu’elle s’affairait, Michel retourna au living, brancha sa chaîne Hi-Fi, choisit un CD et l’inséra dans le lecteur. Bach. Les Variations Goldberg, par le pianiste Glenn Gould ; sa troisième version, bien meilleure que les deux qu’il avait enregistrées plusieurs années auparavant. Il s’installa sur le canapé, un verre de cognac à portée de main, alluma un Havane et se laissa emporter par la musique.

—ooOoo—



— J’ai terminé, Monsieur.

Le retraité sortit de la torpeur qui l’avait envahi ; Camille était devant lui, les bras ballants, ne sachant que faire.

— Bon, j’irai voir tout à l’heure. Tu vas donc pouvoir mettre les couverts.
— Je n’en mettrai qu’un, ce soir, Monsieur. Je n’ai pas faim ; ce qui s’est produit m’a coupé l’appétit.
— Comme tu veux. Tu n’auras qu’à me réchauffer les restes de mon repas de midi, alors.

L’étudiante se rendit à la cuisine et en revint avec le couvert que Michel lui avait demandé de disposer sur la table. Lorsqu’elle s’en approcha, c’est là qu’elle remarqua sa petite culotte.

— Mais…
— Mais quoi ?
— Là, ma culotte…
— Eh bien quoi, ta culotte ?
— Pourquoi est-elle sur la table ?
— C’est tout ce que j’ai pu sauver du désastre. Peut-être parce qu’elle était mouillée… ajouta-t-il avec un ricanement qui voulait en dire long.

Camille s’en saisit pour la rapporter dans sa chambre. Effectivement, sa culotte était mouillée. Lorsqu’elle la déploya, elle comprit que l’humidité n’était pas simplement due à l’eau que le sexagénaire aurait pu utiliser pour combattre l’incendie ; non, il s’agissait d’un liquide bien différent…

« Ce n'est pas parce qu'elle était mouillée : c'est parce qu'elle n'était pas sur le tas qu'elle a été sauvée. » pensa-t-elle. Cela la dégoûtait un peu de savoir ce que Michel avait fait avec ; mais cela ne changeait absolument rien à la culpabilité qu’elle éprouvait.

Ce soir-là, Camille se coucha très tôt. Les émotions, ça fatigue ; la journée avait été longue, et elle n'avait pas envie de ressasser ce qui s'était passé pendant une longue soirée.

Dans le salon, Michel jubilait. Tout se passait à merveille : la jeune fille avait réagi exactement comme il l'avait espéré, et le lendemain s'annonçait comme une scène de Pretty Woman, mais à sa sauce à lui… Il réfléchit une nouvelle fois à ce qu'il allait lui acheter. Cela allait lui coûter cher, mais la dépense en valait la peine ; et puis, au final, c'est Camille elle-même qui allait payer pour tout ça, mois après mois avec son loyer. Bientôt, très bientôt, elle serait sienne. Le conditionnement avait commencé et allait continuer progressivement.

—ooOoo—



Avec le lever du soleil, Camille sortit d'un sommeil sans rêves. Elle se leva et se dirigea vers son bureau et ses fournitures scolaires, mais s'arrêta net en remarquant la trace sombre sur le parquet roussi. Tout lui revint. Aujourd'hui, il n'y aurait pas cours. Son propriétaire avait proposé si gentiment de lui offrir des vêtements pour remplacer ceux qu'elle avait perdus… Avec ses moyens financiers, elle ne pouvait pas refuser ; et comment appeler ses parents pour leur dire qu'au bout de moins d'une semaine elle avait failli mettre le feu à tout l'immeuble ? Ils l'auraient fait revenir, et la vie de caissière aurait été son seul horizon.
Elle retira sa culotte, qu'elle avait gardée pour la nuit, et enfila un short afin d'obéir aux règles de la maison, déjà devenues familières ; puis elle sortit de sa chambre pour aller préparer le petit déjeuner. Michel était là, dans une grande robe de chambre, en train de lire le journal.

— Bonjour Monsieur.
— Ah ! Bonjour Camille. Pour ce matin, je veux un café, deux toasts à la confiture de framboise et trois oranges pressées dans un grand verre.
— Bien Monsieur ; je vous fais ça tout de suite.
— Ah oui, et puis j'ai remarqué que tu as les lèvres un peu sèches. Tu trouveras un stick de baume sur la table de la cuisine. Mets-en.
— Merci Monsieur.

Camille s’attela à la suite de ses tâches. Il y avait bien là un petit stick, d’apparence anodine, qui se révéla être aromatisé à la fraise ; un peu enfantin, mais loin d'être désagréable. Ses lèvres ne lui paraissent pas sèches ; cependant elle ne se sentit pas en état d’émettre des critiques après ce qui s'était passé la veille.

Michel sourit en la voyant revenir avec le plateau. « Voilà qui est parfait… » Camille ne pouvait pas se douter qu'à défaut d'être riche, Michel avait certains contacts très bien placés. L'un d'eux, responsable de la recherche dans un laboratoire pharmaceutique, lui avait confectionné ce baume très spécial. C'était au départ un sujet d'étude, mais il n'avait pas été difficile de le détourner et de l’accommoder à sa sauce. Dans ce baume, il y avait bien plus que le principe réparateur ; il y avait surtout deux autres substances très utiles…

La première substance était de la prolactine. Cette hormone, si elle était correctement dosée, avait trois effets qui intéressaient fortement Michel. Le premier consistait en l’arrêt complet du cycle menstruel : Camille serait donc disponible sans discontinuer pendant tout le mois, et il n'y aurait même pas à s'inquiéter d'un possible oubli de la pilule, ni même besoin de lui demander d'en prendre. Le second effet, c’était une légère euphorie, un sentiment de bien-être qui aiderait à la rendre plus docile. Le troisième – et non le moindre – était le développement de la poitrine et une production de lait : cela pourrait être source de bien de jeux coquins et de soumission ; mais il fallait attendre de quinze jours à un mois pour que les effets se produisent.

La seconde substance était un dérivé de la nicotine, le véritable sujet d'étude du laboratoire pharmaceutique : il s'agissait d'étudier les phénomènes de dépendance. Grâce à elle, Camille reviendrait inconsciemment à son tube deux ou trois fois par jour, tout comme un fumeur revient à son paquet de cigarettes ; et elle maintiendrait ainsi le niveau de prolactine dans son organisme.

— N’oublie pas que tout à l’heure nous allons renouveler ta garde-robe ; alors, ne perds pas trop de temps.
— Oui, Monsieur : je vais faire le plus rapidement possible.

Dès qu’ils eurent pris leur petit déjeuner et que le retraité se fut habillé, ils sortirent de l’immeuble et se dirigèrent vers une rue dans laquelle il n’y avait pratiquement que des commerces de vêtements. Ils regardèrent ce que proposaient les vitrines, puis pénétrèrent dans une première boutique où Michel choisit des tenues assez simples destinées à être portées pour assister aux cours. En effet, le sexagénaire ne désirait pas rendre Camille trop sexy aux yeux des autres étudiants ; c’est pourquoi il n’avait pas choisi de jupes : uniquement des jeans (slim, toutefois) et des tops, tee-shirts, liquettes, un léger blazer et une robe de fin lin blanc qu’elle voulut porter immédiatement pour remplacer son short. « Dire que je viens de débourser plus d’un mois de loyer, et qu’il manque encore ce qu’il y a de plus intéressant… les dessous ! » Ils ressortirent du magasin, encombrés de nombreux sacs.

— Bon ; à présent, allons chercher le reste.
— Le reste ? Mais j’ai déjà tout ce qu’il me faut, Monsieur…
— Tu te trompes, Camille : il te manque encore quelque chose.
— Mais quoi donc, Monsieur ?
— Tu ne vois pas de quoi je veux parler ?
— Non…
— Même si je t’ai interdit de porter des sous-vêtements dans l’appartement, il n’est pas question que tu n’en portes pas pour aller à la fac. Tiens ; voilà justement une boutique où ils en vendent.

Une fois à l’intérieur, ils choisirent quelques ensembles coordonnés assez banals ; mais le regard de Michel fut attiré par des modèles plus sophistiqués, d’un érotisme troublant. Il en désigna quelques-uns à la vendeuse.

— Est-il possible de les essayer ?
— Certainement, Monsieur ; puis-je vous dire que vous avez fait un très bon choix, et que ces modèles mettront parfaitement la beauté de votre fille en valeur ? Vous avez une cabine là-bas, tout au fond.

Il se garda bien de la détromper au sujet de cette supposée filiation. C’est pourquoi, lorsqu’il arriva à la hauteur de Camille, il lui chuchota :

— Appelle-moi « papa ».
— Oui, Mons… papa !

Elle s’enferma dans la cabine pour passer le premier ensemble ; trois minutes plus tard, elle tira le rideau afin de prendre assez de recul pour s’admirer dans le grand miroir.

— Oh, c’est magnifique…
— En effet, il te va très bien.

Il aurait fallu être très difficile pour nier que le tanga et le soutien-gorge en dentelle bleue rehaussaient la beauté de la jeune fille.

— Alors, Camille, il te plaît ?
— Oh oui, euh… papa ; beaucoup !
— Eh bien, on le prend. Essaie aussi cet ensemble-là.

Sa locataire retourna dans la cabine. Michel attendit, mais elle ne se montrait toujours pas.
« Ah, il aime me voir à moitié déshabillée, ce vieux pervers ? Eh bien, je vais lui en donner pour son argent, à cet obsédé ! »

— Papa ? Tu veux venir m’aider, s’il te plaît ? Je n’y arrive pas toute seule.
— J’arrive.

Il tira le rideau de la cabine. L’étudiante avait passé un string vert amande dont la couleur s’accordait à merveille avec sa chevelure rousse, et elle essayait vainement de fermer l’attache du soutien-gorge.

— Aidez-moi, s’il vous plaît, lui demanda-t-elle à voix basse.

Michel se plaça derrière elle et tenta d’agrafer le sous-vêtement un peu étroit pour les jolis seins ronds de la jeune fille ; mais comme la cabine n’était pas spacieuse, son bassin était en contact avec le postérieur rebondi de Camille. Il sentit son membre durcir sous cet attouchement. L’étudiante s’en aperçut. « Ah, il bande, ce vieux cochon… » Mais, au lieu de s’écarter, elle accentua la pression de ses fesses contre la rigidité qu’elle sentit se développer. « Quelle petite salope… Elle me cherche ? Et maintenant, la voilà qui se frotte contre ma bite… Je vais lui montrer, moi, ce qu’un vieux est encore capable de faire ! »

Le retraité était congestionné, certainement aussi congestionné que sa verge coincée entre les deux globes charnus de l’étudiante qui glissaient le long du membre prêt à exploser. Dans le miroir, son regard croisa celui de Camille qui levait vers lui des yeux faussement candides.

— Alors, vous n’y arrivez pas ?

Oh, que si… Le sexagénaire était tout près d’arriver ! Il sentait même les premières gouttes commencer à s’écouler de son gland. Incapable de maîtriser son émoi grandissant, il ne contrôlait plus ses mains, qui laissèrent glisser le soutien-gorge. Dans le miroir, un sein tout mignon apparut ; un téton rose pâle, bien érigé, semblait le narguer. Camille ne se dépêcha pas pour le remettre à l’abri du fin tissu de dentelle… Son regard malicieux était toujours planté dans les yeux de Michel ; et lorsque sur ses lèvres s’afficha un sourire à la fois espiègle et innocent, il ne put réprimer un long grognement de plaisir lorsqu’il sentit son pantalon recueillir les jets de sperme qui s’y déversaient par saccades.

— Que vous arrive-t-il, Monsieur ? Vous êtes malade ?
— Non, Camille ; ça va. Ça va mieux. Beaucoup mieux, même… C’est la chaleur.


Auteur : Lioubov
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