dimanche 29 juin 2014

[Poésie] Sonnet à Typhaine

C'était une soirée, comme j'en ai des dizaines ;
Je rencontrai cette fille, une dénommée Typhaine.
Elle avait les yeux bleus, une forte poitrine,
Un cul phénoménal, un vrai garage à pines.

Je la raccompagnai, elle m'offrit à boire ;
Je la déshabillai, lui montrai mon braquemart.
Elle commence à en jouer : elle le branle, elle le touche,
Et en s'agenouillant, elle le prend dans sa bouche.

Puis m'offre tous ses trous, commence par son con,
Se retourne : je l'encule et je lui prends le fion.
Mon vit grossit, l'emplit, une véritable poutre.

Elle hurle et se trémousse, elle s'empale le cul,
Elle crie son plaisir, et réclamant son dû
J'éjacule dans ses reins, l'emplissant de mon foutre.


Auteur : Gandalf

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